Trafic d’enfants

La justice ne peut pas s'engager à rendre une décision juste en l'absence de fidélité à la loi. 

Le respect des règles du droit est donc un principe dont une juridiction ne peut se passer. 

Le grand but de la justice est de rendre une décision conforme à la loi. 

Les juges du fond ne sont pas autorisés à ignorer, modifier ou refuser l’application d’une loi ou d’une règle de droit. L’exploitation sexuelle et le trafic d’enfants sont interdits. 

Or, d’après les chiffres publiés par les médias, il y a 10.000 enfants qui sont sexuellement exploités en France. 

Une étude approfondie sur ce sujet démontre que : 

1 - Tous les enfants sont envoyés dans une région très éloignée du domicile de leurs parents. 

2 - La majorité des parents sont soit ruinés, soit envoyés en prison par les trafiquants d’enfants avec l’aide de certains magistrats afin de les empêcher de protéger leurs enfants. 

3 - Les enfants sont d’abord confiés à un petit groupe d’hommes par une décision de justice afin « de prendre de la distance avec son environnement familial et amical pour se recentrer sur des préoccupations plus adaptées à son âge et à ses besoins ».

Ce sont exactement mot pour mot les termes qui ont été employés par Madame BOUGHRARA Céline lorsqu’elle s’est adressée à Madame Maud BESNARD, substitut du procureur qui, par une requête, a saisi le Juge des enfants, Madame Armelle GUIRAUD ; celle-ci a rejeté sa requête et a annulé son ordonnance en dévoilant une opération de proxénétisme infantile. 

4 - Le droit de visite avec leurs parents est médiatisé et limité à une heure par mois afin qu’elles ne puissent pas dévoiler les viols collectifs qu’elles subissent. 

5 - Tous les enfants sont convaincus que leurs parents les ont abandonnés. 

6 - Tous les enfants sont retirés de leur environnement familial par le Pôle Enfance et Famille de la Direction de la Protection de l’Enfance et de la Jeunesse. 

7 - Tous les enfants sont confiés à des entreprises privées par une décision de justice. 

Nous sommes en mesure de prouver que cette politique est menée par la Direction de la Protection de l’Enfance et de la Jeunesse (DPEJ), sous la responsabilité du président du Conseil départemental du Val-de-Marne. 

Une magistrate intègre, qui a respecté les règles de droit et qui, par conséquent, a saboté l’opération menée par La VAGA dont le but était de nous enlever nos enfants, a été tout simplement mutée.

Madame Céline BOUGHRARA a donc confié nos enfants à la fondation Olga Spitzer. 

Cette fondation a travaillé avec Monsieur Philippe Chenet-Bresteau, juge pour enfants. Or, ce magistrat, après 10 ans de services dans le Val-de-Marne, a été arrêté pour pédophilie et a été condamné à un an de prison avec sursis. Il a été protégé par la mafia qui gère les trafics d’enfants. 

Si un père ou une mère de famille apportait la preuve de la pédophilie de cet ancien magistrat, ses collègues les condamneraient à deux ans de prison et 30.000 € d’amende. 

C’est donc pour cela que personne n’ose dénoncer les magistrats corrompus et que plus de 10.000 enfants placés en foyer en France sont sexuellement abusés chaque année, ceci avec la complicité des magistrats. 

Le Secrétaire général de la fondation Olga Spitzer n’est autre que le doyen honoraire de la Cour de cassation, la plus haute juridiction française : Monsieur Gérard PLUYETTE ! 

Premier Jugement 

L'existence d'une première audience nous a été dissimulée afin de nous empêcher d'y participer.

Non seulement nous sommes arrivés une heure à l’avance mais nous avons réussi à produire une conclusion pour demander l’annulation de l’ordonnance qui demandait que notre fille nous soit retirée.

Notre conclusion était uniquement fondée sur les règles de droit. 

Nous ignorions les motifs avancés par l’ASE et le parquet. 

Non seulement la juge a annulé l’ordonnance, mais elle a dévoilé tous les secrets qui entouraient cette ordonnance. 

D’abord, la juge Madame Armelle GUIRAUD a demandé à s’entretenir en privé avec notre fille et a motivé sa décision sur sa déclaration : « J'ai l'impression que là-bas j'aurai jamais l'amour de mes parents ». 

Elle a donc annulé l’ordonnance de Madame Maud BESNARD, substitut du procureur, et nous a rendu notre fille sur le champ avant même de nous notifier son jugement. 

Dans son jugement du 6 juillet 2022, elle dévoile presque tout, notamment le plan de « dressage des enfants » par un petit groupe d’hommes et une obligation de visite médiatisée afin que notre fille ne puisse pas nous dévoiler les viols collectifs qu’elle allait subir. 

Elle écarte l’intervention des éducatrices de la VAGA, entreprise bénéficiaire de l’ordonnance, et instaure une mesure d’assistance éducative comme l’a demandé la mère de nos enfants. 

En droit européen, un jugement non soumis à un débat contradictoire est considéré inéquitable et par nature nul. 

Avant le jugement, j’ai demandé à avoir accès aux documents de l’affaire pour connaître la base des éléments sur lesquels le placement de nos enfants a été prononcé. 

La magistrate m’a donné raison et a proposé de renvoyer l’audience à une date ultérieure afin que je puisse consulter les pièces du dossier. 

La mère de mes enfants a déclaré qu’elle ne pouvait plus supporter la séparation avec sa fille car cela faisait déjà 21 jours qu’elle nous avait été enlevée. 

La magistrate m’a dit que nous étions victimes d’une erreur judiciaire. Elle a apparemment découvert que les précédentes décisions prises à l’encontre des parents provenaient d’une erreur de la part du greffe du Tribunal, notamment la convocation à l’audience qui ne nous a jamais été envoyée. 

La somme de plus de 32.000 € a été saisie sur mes comptes bancaires de manière tout à fait illégale par un commissaire de justice qui prétendait que son client avait négocié avec le procureur général du Tribunal de Créteil pour ce délit d’escroquerie et de faux témoignage. C’est le procureur qui doit répondre. 

La mère de mes enfants a été victime d’une agression en pleine après-midi à Villejuif et ses agresseurs ont immédiatement déposé plainte contre elle au commissariat de police de Vitry-sur-Seine pour tentative de meurtre avec le risque d’être envoyée en prison pour 5 ans. 

Tout ceci n’est pas dû au hasard mais à une opération programmée afin de nous neutraliser parce que nous dénonçons la prostitution infantile pratiquée par les foyers en France. 

Aujourd’hui, le procureur de la République a changé d’avis et a prétendu qu’il allait rouvrir la plainte que j’ai déposée contre le commissaire de justice à l’origine de l’escroquerie de plus de 32.000 € dont j’ai été victime. 

Le procureur a uniquement prétendu qu’il allait rouvrir le dossier. Or, si le commissaire de justice a dit la vérité, le procureur ne peut pas rouvrir un dossier contre un délit dont il est lui-même à l’origine.

Quant au dossier pénal de la mère de mes enfants, il a étrangement disparu du commissariat. A l’heure actuelle, elle ne risque donc plus 5 ans de prison. 

Madame Céline BOUGHRARA a demandé à Madame Maud BESNARD, substitut du procureur, de nous enlever notre fille en lui interdisant tout contact avec nous : 

« Les services éducatifs sollicitent donc du juge des enfants la confirmation du placement de Laura et la mise en place d’un droit de visite médiatisé mensuel pour les parents, ainsi que la poursuite de l’accueil modulable pour Sandrine dans un cadre judiciaire. » 

« Les services estiment nécessaire d’envisager son accueil dans une structure plus petite, éloignée de la région parisienne pour lui permettre de prendre de la distance avec son environnement familial et amical pour se recentrer sur des préoccupations plus adaptées à son âge et à ses besoins ». 

Ce sont des conditions nécessaires pour commercialiser un enfant sur le marché de la prostitution. 

« Le Service » est une entreprise privée désignée par le Pôle Enfance et Famille de la (DPEJ), sous la responsabilité du président du Conseil départemental du Val-de-Marne. 

Les magistrats du Tribunal Pour Enfants de Créteil sont, pour la plupart d’entre eux, du même acabit que Monsieur Philippe Chenet-Bresteau qui pendant 10 ans a été au service de la DDASS, l’actuelle ASE, et d'Olga Spitzer du Val-de-Marne. 

Combien d’enfants ont-ils été extraits de leurs familles de manière totalement arbitraire par ses jugements ? C’est le Conseil départemental du Val-de-Marne qui peut répondre. 

Voici à quel traitement sont soumis les enfants placés : deux ou trois enfants sont mis à la disposition d’un petit groupe de 3 à 4 hommes appelés « dresseurs » et sont violés collectivement pendant la durée nécessaire à leur éducation. A l’issue de ce dressage, les enfants sont complètement détruits. Les enfants étant géographiquement très loin de leurs parents et 1 heure de visite médiatisée par mois ne leur permet pas d’appeler leurs parents au secours et de leur parler librement puisque ces enfants ne peuvent les voir qu’en présence d’un tiers. De plus, les enfants croient que leurs parents les ont abandonnés et le peu de temps qu’ils passent avec eux, ils sont agressifs. 

C’est ce qui permet à l’ASE de livrer définitivement les enfants à la mafia de la prostitution infantile.

Ainsi, les juges pédophiles et les magistrats qui livrent les enfants à ces réseaux de prostitution ne risquent rien. 

En 2017, nous avons été agressés par des proxénètes qui sévissaient dans le camping où nous passions nos vacances d’été, le camping l’Arbre d’Or à Parentis-en-Born dans les Landes. Une jeune prostituée s’est confiée à nous et a raconté son histoire. Enfant placée à la DDASS à l’âge de 13 ans, violée par son juge, son avocat et le directeur de son foyer pendant 10 jours, elle a été rendue à ses parents pour quelques jours. Puis, l’avocat prétend avoir reçu un appel téléphonique anonyme, a retiré l’enfant de sa famille à l’aide de la police par une ordonnance et l’a amené à l’hôpital. Son avocat a obtenu un certificat médical et son père a été condamné à 5 ans de prison pour inceste. 

Les deux personnes qui nous ont agressés étaient des policiers. 

Nos enfants, âgées de 9 et 11 ans à l’époque, ont assisté à notre agression et celle de leur grand-mère maternelle. Depuis, notre fille aînée est suivie par une psychologue et sa sœur, enfant très intelligente, très respectueuse du monde des adultes et ayant sauté une classe, s’est inscrite en cours d’arabe et s’est convertie à l’Islam. 

Nous étions 3 adultes handicapés et utilisions les sanitaires réservés aux personnes handicapées. 

À la suite de cette agression, la mère de mes enfants est devenue infirme et leur grand-mère a dû être hospitalisée à domicile jusqu’à son décès. 

Un des deux agresseurs a reconnu les faits et a bénéficié d’une procédure de CRPC. 

Or, une telle procédure est inapplicable pour des délits punis d’une peine de prison de plus de 5 ans. 

De plus, la victime doit être informée de cette procédure avant l’audience d’homologation et le coupable doit accepter une punition équivalente à la moitié de celle prévue par la loi.

Avant l’audience, notre avocat, Maître MEFFRE, nous a informé qu’il allait demander l’intervention d’un service médico-judiciaire afin de déterminer le taux d’infirmité de la mère de mes enfants. Or, le soir de l’audience, il nous a dit que l’affaire avait été pénalement classée sans suite parce que les certificats médicaux que nous avions fournis avaient purement et simplement disparu du dossier et que la magistrate, Madame Amandine GORY, avait refusé de les recevoir à nouveau. 

Le juge et le procureur ont interdit à notre avocat d’interjeter appel de l’homologation et lui ont demandé de démissionner, ce qu’il a fait, afin de ne pas mettre en danger sa vie professionnelle et sa vie privée. 

Quand nous lui avons annoncé que nous n’allions pas abandonner, il nous a répondu qu’il s’agissait de la mafia de la prostitution, que la Cour d’appel d’Aix-en-Provence appartient à une région où la mafia règle ses comptes en dehors des tribunaux et que nous n’avions pas le choix. 

Une de nos filles a entendu cette conversation et cela l’a traumatisée. Depuis, elle a peur que quelqu’un entre chez nous et tue toute la famille. Elle nous demande quotidiennement de déménager. 

Nous avons donc décidé de la placer en internat. 

Sa mère a sollicité de l’aide auprès de Madame Céline BOUGHRARA, représentante du président du Conseil départemental du Val-de-Marne. Elle pensait que les assistantes sociales sont des professionnelles et qu’elles pouvaient nous aider. 

Les services sociaux ont des contrats avec des entreprises privées dont l’objectif n’est pas l’intérêt des enfants. Leur seul intérêt est d’ordre commercial pour l’argent qu’ils peuvent leur apporter. 

Le prix du placement d’un enfant est de plus de 72.000 € par an. 

En ce qui concerne la VAGA, voici ce que le placement des enfants leur rapporte : 

• En foyer : 
  - 201,37 € par jour et par enfant.
  - 6.041,10 € par enfant sur 1 mois de 30 jours.

• Service de Placement Éducatif A Domicile : 58,09 € par jour (2 demi-journées par semaine). 

• Service une fois par semaine par demi-journées : 28 € par semaine. 

Ces chiffres sont parlants et démontrent que le placement en foyer est celui qui rapporte le plus. 

Par trois jugements, « le Service » a donné un avis favorable pour que nos enfants soient placées. 

« le Service », ce sont les employés de l’entreprise commerciale qui obtiennent un contrat pour s’occuper des enfants. 

Or, la loi et les règles de droit interdisent que les enfants soient enlevés à leurs parents. 

C’est ainsi que leur éducatrice a mis en place une politique de provocation de nos enfants contre nous, leurs parents, dans le but de créer un conflit et les récupérer. 

La mère de mes enfants a signé un contrat avec eux pour obtenir une aide éducative. Or, pour pouvoir modifier la nature de ce contrat, les services sociaux devaient récupérer nos enfants de manière permanente. 

Voici les conseils que leur éducatrice leur a donnés : 

- « Le téléphone portable est un espace privé et les parents n’ont pas le droit de le saisir ; si tes parents le prennent, tu as le droit de les en empêcher par tous les moyens ». 

- « ne te laisse pas faire, tu as le droit de te défendre ». 

- « pour embêter tes parents, tu peux arrêter d’aller à l’école. » 

Quand j’ai dit à Madame Diane ABE, éducatrice, qu’un enfant doit respecter ses parents, elle m’a répondu que son travail était de protéger les enfants, pas les parents ! 

Il s’agit ici tout simplement de trafic d’enfants, définit de manière très claire par la France : « On considère qu’il y a trafic d’enfant dès qu’un acte illégal, attentatoire à son état, est commis en vue du transfert de l’enfant d’une personne ou d’une institution à une autre. » 

Il n’y a aucune ambiguïté. 

La Convention internationale des Nations-Unies du 20 novembre 1989 précise que « la famille, unité fondamentale de la société et milieu naturel pour la croissance et le bien-être de tous ses membres et en particulier des enfants, doit recevoir la protection et l'assistance dont elle a besoin pour pouvoir jouer pleinement son rôle dans la communauté. » 

Par son article 9, paragraphe 1, la convention impose : « Les États parties veillent à ce que l'enfant ne soit pas séparé de ses parents contre leur gré. » 

L’article 375-2 du Code civil impose que « Chaque fois qu'il est possible, le mineur doit être maintenu dans son milieu actuel. »  

Quelques jours plus tard, notre fille de 14 ans a refusé de se lever le matin pour aller à l’école parce qu’elle avait passé la nuit sur son téléphone. 

La mère de mes enfants a pris son téléphone portable et notre fille lui a alors donné des coups de pied dans le ventre, tiré les cheveux et l’a mise par terre en la frappant alors que sa mère est handicapée. 

J’ai attrapé les mains de ma fille et j’ai demandé à sa mère de récupérer le téléphone. Elle s’est alors précipitée vers ma chambre, a cassé mon ordinateur, mon imprimante et mon scanner. 

Or, la sanction de lui prendre son téléphone portable était une sanction qu’elle acceptait avant les conseils que son éducatrice lui avait donné quelques jours auparavant. 

La mère de mes enfants s’est souvenue qu’il y avait un accord avec les services sociaux dont le principe était qu’en cas de tensions au sein du foyer familial, une procédure de repli de 5 jours pouvait être mise en place. Ensuite, l’enfant pouvait réintégrer le domicile familial. 

C’est ainsi que la mère de mes enfants a décidé d’appeler à l’aide l’éducatrice de notre fille. 

Elle est venue la récupérer mais ne nous l’a jamais rendue. 

Elle l’a placée en foyer pendant 21 jours. 

Le jour même, elle l’a amenée chez un médecin en précisant qu’elle souffrait de maltraitance, de violence et d’agression de la part de ses parents et a demandé un certificat médical de plus de 8 jours d’ITT. Le médecin l’a examinée mais a déclaré qu’il ne constait aucune violence ou maltraitance. Après l’avoir interrogée, elle lui a dit qu’elle ne se laissait pas faire par ses parents car ils voulaient lui confisquer son téléphone, qu’elle a remis sa mère à sa place et que quand son père lui a repris son téléphone, elle a cassé son ordinateur, son scanner et son imprimante. C’est ainsi que le médecin a délivré un certificat médical pour que notre fille puisse justifier son absence auprès de son établissement scolaire mais il a mentionné qu’il n’a constaté ni blessures, ni hématomes, seulement une grande fatigue. 

Ensuite, l’éducatrice a amené notre fille au commissariat de police pour déposer plainte contre nous, ce qu'elle a refusé de faire. 

Puis, l’éducatrice a informé sa hiérarchie qui a contacté la substitute du procureur, Madame Maud BESNARD, présumée être au service de la mafia qui gère les trafics d’enfants. Elle a écrit : « Attendu qu'il en ressort que la santé, la sécurité, la moralité, l'éducation ou le développement physique, affectif, intellectuel et social de Laura et de sa sœur Sandrine …. sont gravement compromises. » 

Il s'agit d'une formule générale utilisée par les magistrats français pour justifier l’extraction des enfants et leur livraison à la mafia. 

L’article 433-1 du Code pénal présume la corruption de Madame Maud BESNARD de la manière suivante : « Est puni de dix ans d'emprisonnement et d'une amende de 1 000 000 €, dont le montant peut être porté au double du produit tiré de l'infraction, le fait, par quiconque, de proposer sans droit, à tout moment, directement ou indirectement, des offres, des promesses, des dons, des présents ou des avantages quelconques à une personne dépositaire de l'autorité publique, chargée d'une mission de service public ou investie d'un mandat électif public, pour elle-même ou pour autrui. » 

La substitute du procureur avait pour obligation d’interroger notre fille et de nous interroger mais ne l’a jamais fait alors que les lois et les conventions internationales l’imposent dans l’intérêt de l’enfant. 

Par une ordonnance, elle a interdit à notre fille toute communication avec nous, ce qui est interdit par la loi. 

L’ASE, la substitute du procureur et l’entreprise VAGA ont ensemble organisé l’extraction de notre enfant de son environnement familial. 

Le greffe a été chargé de ne pas nous communiquer l’heure et la date de l’audience. 

Pour briser un enfant, il suffit de lui faire croire que ses parents l’ont abandonné. Ils ont donc dit à notre fille que nous ne participerions pas à l’audience. 

Nous n’avons jamais eu connaissance de l’existence d’une ordonnance qui, d’ailleurs, ne nous a jamais été notifiée ! 

Notre fille venait nous nous rendre visite quand elle le souhaitait et plusieurs fois par semaine. 

C’est ainsi qu’elle nous a annoncé qu’une audience pour son placement allait avoir lieu et nous a demandé pourquoi nous l’avions abandonnée. 

Je me suis donc rendu au Tribunal et j’ai découvert que notre fille avait raison : une date et un horaire avaient été arrêtés. J’ai donc préparé des conclusions pour me défendre et j’ai bien vu que le jour de l’audience, les employés de l’ASE et de l’entreprise chargée du placement de notre fille étaient stupéfiés de ma présence. 

Madame Armelle GUIRAUD est une magistrate qui respecte les règles de droit. En notre absence à l’audience, elle ne pouvait que confirmer l’extraction de notre fille et la faire placer dans un foyer mais comme nous étions présents et que nous avons pu lui exposer la situation, elle nous a rendu notre fille le jour même. 

La mère de mes enfants était toujours persuadée que nous avions besoin de l’aide d’une éducatrice pour cadrer nos enfants, donc Madame Armelle GUIRAUD a décidé d’une mesure d’assistance éducative en milieu ouvert. 

Deuxième jugement 

Nous n’avons pas interjeté appel car Madame Armelle GUIRAUD, par sa décision, nous a rendu notre fille et a ordonné qu’une éducatrice nous aide. 

Très rapidement, la juge a été mutée. 

Mme Céline BOUGHRARA était en charge des mesures d’assistance éducative en milieu ouvert et a désigné l’entreprise Olga Spitzer, spécialiste du trafic d’enfants. 

En effet, ses victimes se sont exprimées sur internet à son sujet. 

Le mot-clé est « Placement abusif ». 

Les éducatrices d’Olga Spitzer avaient un rituel : une fois par mois, elles invitaient nos filles à manger chez Mac Donald’s. En termes d’éducation, non seulement elles n’ont rien fait pour nous aider à éduquer nos enfants mais en plus elles leur donnaient une éducation alimentaire déplorable ! 

10 jours avant l’audience, elles ont dit à nos enfants que le juge avait décidé de les placer dans un foyer. 

Or, communiquer la décision d’un jugement 10 jours avant l’audience est totalement illégal

La décision ayant été prise d’avance, la mère de mes enfants et notre fille aînée ont décidé de ne pas se déplacer au Tribunal puisque les jeux étaient déjà faits et la mère de mes enfants avait décidé de faire appel. 

Notre fille qui a connu pendant 21 jours la vie en foyers m’a dit que c’était une expérience traumatisante et a décidé de m’accompagner au Tribunal. 

Madame Clotilde LAMBERT a remplacé Madame Armelle GUIRAUD. 

Madame Clotilde LAMBERT avait rédigé son jugement 10 jours avant l’audience. Son remplacement est intervenu dans le but d’annuler le jugement de Madame Armelle GUIRAUD qui a annulé le placement de nos enfant en foyers. 

J’ai interrogé plusieurs juristes. 

Tous m’ont dit qu’il était impossible qu’un magistrat commette un tel délit et qu’ils ne croyaient pas à mon histoire. 

La juge ne pouvait pas imaginer que la mère de mes enfants et notre fille aînée ne se présenteraient pas à l’audience. 

Les motifs invoqués par la juge sont les suivants : 

1 - « Sandrine, âgée de 17 ans, a décrit immédiatement le climat délétère dans lequel elle a grandi ». 

2 - « Madame dit qu’elle passe des nuits sur son portable » 

3 - « Les parents s’accordent pour dénoncer une machination judiciaire » (« Madame » fait partie des parents). 

4 - « Madame ne nuance ni ne contredit les propos de Monsieur et ce même seule » 

5 - « Madame ne questionne pas les comportements de Monsieur qu’elle peut quand même décrire comme décalés (Elle explique que, par exemple, à une époque, il ne traversait plus sur les passages piétons). Elle ne remet pas en cause la vie commune qui serait selon elle dans l’intérêt de ses filles. » 

6 - « La famille a accepté d’échanger sur un projet de placement. » 

7 - « Madame dire qu’elle souhait que ses filles respectent le cadre lors des retours en famille sinon ce n’était pas la peine qu’elle reviennent ». 

8 - « Il demande à pouvoir publier les éléments du dossier d’assistance éducative sur son blog afin que justice soit faite mais entend que cela est interdit. » 

Madame Clotilde LAMBERT m’interdit la transparence car elle sait que son jugement est une altération de la vérité en faveur des trafiquants d’enfants.

Les 8 point décrits ci-dessus sont absolument faux puisqu’à la première page du jugement, il est écrit que Sandrine et sa mère étaient non comparantes. Par conséquent, elles n’étaient pas en mesure de s’exprimer ni demander un placement, ni donner un accord afin que les enfants soient placées. 

De plus, la mère de mes enfants m’avait donné une procuration afin que je puisse la représenter. 

Aux termes de l’article 434-13 du Code pénal, un témoignage mensonger fait sous serment devant toute juridiction est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75.000 € d'amende. 

Un juge est assermenté. 

L’article 441-4 du Code pénal précise que « le faux commis dans une écriture publique ou authentique ou dans un enregistrement ordonné par l'autorité publique est puni de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende ». 

L’article 441-2 précise que « le faux commis dans un document délivré par une administration publique aux fins de constater un droit, une identité ou une qualité ou d'accorder une autorisation est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende ». 

Or, un juge qui commet les délits mentionnés ci-dessus présume de sa corruption, ce qui est sanctionné par 10 ans de prison, d’autant plus que l’objectif de la corruption est le trafic d’enfants. 

Madame Clotilde LAMBERT ne peut pas prétendre que deux personnes absentes pouvaient s’exprimer et qu’elle motive son jugement par leurs déclarations. 

 Il est clair que son jugement a été rendu en faveur des entreprises chargées du trafic d’enfants. 

En droit français, un objet jugé par une juridiction ne peut pas être rejugé pour la deuxième fois par la même juridiction en changeant simplement le juge. 

« Attendu qu'il en ressort que la santé, la sécurité, la moralité, l'éducation ou le développement physique, affectif, intellectuel et social de Laura et de sa sœur Sandrine …. sont gravement compromises.» 

Ces phrases ont été envoyées par Madame Céline BOUGHRARA à Madame Maud BESNARD, et madame Armelle GUIRAUD qui est la juge du premier jugement les a considéré infondées et inexactes. 

Lors de l’audience, elle a même dit que ces phrases étaient exagérées et injustes. 

La nouvelle magistrate n’avait techniquement pas la possibilité de les rejuger. 

Nous n’avons qu’un seul objectif : sauver nos enfants. 

C’est le président du Conseil départemental du Val-de-Marne qui est responsable de la Direction de la Protection de l’Enfance et de la Jeunesse. 

Or, la violation volontaire des règles de droit par un magistrat en faveur d’une des parties présume de sa corruption. 

L’ASE est responsable de la corruption de Mesdames Maud BESNARD et Clotilde LAMBERT. 

Les deux éducatrices de nos enfants sont les agents d’une entreprise très puissante : Olga Spitzer. 

Cette entreprise est réputée pour faire partie d’un trafic d’enfants dirigé par des hauts responsables du monde du droit, de la politique ainsi que des préfets :

• Président d’honneur : monsieur Bernard LANDOUZY, préfet honoraire, ancien conseiller d’État en service extraordinaire. 

• Président : monsieur Michel MORIN, préfet honoraire. 

• Secrétaire général : monsieur Gérard PLUYETTE, doyen honoraire de la Cour de cassation. 

• Secrétaire générale : adjointe madame Geneviève ANDRÉ, adjointe administrative civile honoraire au Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé. 

• Trésorier : monsieur Alain RAOUL, directeur général de fondation, retraité. 

• Trésorier adjoint : monsieur Jean-Louis DUFEIGNEUX, préfet de région honoraire, ancien conseiller d’État en service extraordinaire. 

C’est pour cela que les juges corrompus ne risquent rien et qu'ils ont pu si rapidement muter la première juge et la remplacer par une autre qui a communiqué sa décision à Olga Spitzer dès son arrivée au Tribunal. 

J’ai informé la juge que la justice, sans respect des règles de droit, n’existe pas, et qu’un juge pour enfants a l’obligation d’interroger l’enfant concerné et répondre favorablement à ses demandes. 

Et j’ai ajouté que si un magistrat ne respecte pas les règles de droit de manière flagrante, aux termes de l’article 433-1 du Code pénal, il est présumé corrompu. 

C’est le cas de Madame Maud BESNARD. Elle doit donc être poursuivie sur le fondement de cet article. 

J’ai complété mes propos en lui disant que l’article 40 du Code de procédure pénale lui impose de transférer ce dossier au parquet. 

Elle m’a alors répondu que je prétendais que mes filles sont traumatisées parce que je m’étais bagarré avec des policiers et que je minimisais ma responsabilité. 

Elle a ajouté qu’en France, quelqu’un qui accuse un magistrat est condamné à de la prison et que je l’accusais en pleine audience. 

J’ai confirmé mes déclarations en disant que je parlais de la loi et des conventions européennes, que je ne l’accusais pas et qu’elle est tenue de respecter la loi. 

Finalement, elle a annoncé qu’elle ne changera pas son jugement et que l’audience était terminé. 

La magistrate a demandé à la greffière d’imprimer le jugement en fin d’audience. 

En colère, elle a signé le jugement qui pourtant est entaché d’un délit grave sanctionné par l’article 441-1 du Code pénal : « Constitue un faux toute altération frauduleuse de la vérité, de nature à causer un préjudice et accomplie par quelque moyen que ce soit, dans un écrit ou tout autre support d'expression de la pensée qui a pour objet ou qui peut avoir pour effet d'établir la preuve d'un droit ou d'un fait ayant des conséquences juridiques. » 

Le faux et usage de faux sont punis de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende car la mère de mes enfants et notre fille aînée étaient absentes à l’audience et ne pouvaient, en aucun cas, s’exprimer.  

Selon l’article 434-4 du Code pénal : « Est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende le fait, en vue de faire obstacle à la manifestation de la vérité : Lorsque les faits prévus au présent article sont commis par une personne qui, par ses fonctions, est appelée à concourir à la manifestation de la vérité, la peine est portée à cinq ans d'emprisonnement et à 75 000 euros d'amende

Sur la base de l’article 434-4-2, la sanction est applicable aux atteintes à l'administration de la justice par la Cour pénale internationale. 

Madame LAMBERT Clotilde a signé un jugement qu’elle avait préparé au moins 10 jours avant l’audience sans fait attention qu’il a été négocié avec l’entreprise soupçonnée de trafic d’enfants. 

Ce manque d’attention prouve le délit de corruption du juge. 

Il n’y a aucune autre explication possible. 

La greffière a mentionné l’absence de deux personnes à l’audience en première page du jugement qui est fondé sur leur demande et leur accord : « Le service préconise le renouvellement de la mesure pour une court durée afin de travailler un projet de placement ». 

L’entreprise Olga Spitzer envisageait de préparer nos enfants avant de les commercialiser et a demandé un délai de 3 mois. C’est pour cela que la mission des agents d’Olga Spitzer a été prolongée jusqu’à 30 juin. 

Notre fille les avait menacés de fuguer ou de se suicider. Elle est donc devenue invendable auprès d'autres entreprises. 

APPEL 

Nous avons interjeté appel. 

Une fois le délai de trois mois passé, Madame CHABERT, éducatrice de chez Olga Spitzer, m’a téléphoné et m’a demandé un rendez-vous pour prolonger sa mission afin de pouvoir préparer nos enfants et m’a demandé d’inciter ma fille la plus jeune à accepter le placement, ce que j’ai refusé. 

Elle a insisté en demandant un rendez-vous avec ma fille et quand je lui ai dit que la Cour d’appel allait annuler le jugement de première instance, elle m’a répondu que la Cour d’appel allait le confirmer. 

Je lui ai expliqué que les motifs du jugement de première instance étaient faux car la juge prétend que notre fille aînée et sa mère ont donné leur accord pour un placement alors qu’elles étaient toutes les deux absentes. 

Elle m’a répondu que notre fille la plus jeune avait menacé de se suicider et que le juge, avec l’aide de la force publique, pouvait nous l’arracher et qu’elle voulait nous aider à exécuter le placement pour éviter toute violence. 

J’ai ajouté que, légalement, j’avais le droit de refuser que mes enfants entrent à nouveau en contact avec elle parce que la mission des employés de l’entreprise privée Olga Spitzer a pris fin le 30 juin 2023. 

En colère, Madame CHABERT m’a répondu que le président de la Cour d’appel, Pôle 3 - Chambre 6, est leur client et qui leur a demandé de faire pression sur le Conseil départemental du Val-de-Marne et de déposer plainte au nom du directeur du foyer pour violences et agression contre ses employés. 

Elle précise qu’il est prévu que nous, les parents, nous soyons emprisonnés pour agression et violence contre des fonctionnaires de l’ASE sur leur lieu de travail ! 

À l’audience, il y avait un magistrat rapporteur, une femme au milieu des juges et un homme qui n’a rien dit pendant l’audience. Par conséquent, j’ai pensé que Madame CHABERT avait menti. 

J’ai expliqué à Madame CHABERT que nous avons fait appel de la décision, donc nous étions la partie appelante et La Direction de la Protection de l’Enfance était la partie intimée. 

J'ai envoyé par courriel ma conclusion et les pièces que j’ai produites devant la Cour d’appel à la partie intimée. C’est le principe fondamental du contradictoire. 

Elle a refusé de se présenter à l’audience et elle s’est désistée. 

Une entreprise privée ne peut pas, sans avoir une procuration, remplacer la partie intimée, surtout quand il s’agit d’Olga Spitzer, réputée pour collaborer dans des trafics d’enfants. 

La mission d’Olga Spitzer s’était terminée au 30 juin 2023 et l’audience d’appel était prévue le 5 septembre 2023. 

La supérieure hiérarchique de Madame Chabert de chez Olga Spitzer, Madame JONQUET, s’y est présentée. 

J’ai clairement dit qu’elle ne pouvait pas y participer sans une délégation de la DPEJ car il s’agissait d’un huit clos et que leur mission était terminée. 

La juge m’a alors répondu que c’était elle qui décidait qui devait participer à l’audience et que l’absence de la partie intimée ne me regardait pas !

Puis, la juge m’a demandé pourquoi j’étais contre le fait que ma fille ait des relations avec des garçons.

Je lui ai répondu que je n’ai jamais été contre, d’autant plus que bien avant même sa conversion à l’Islam, j’ai toujours eu d’excellentes relations avec ses amis et que c’est elle-même qui a rompu tout contact avec ses amis garçons. 

J’ai montré les SMS que ma fille avait envoyé à son éducatrice. Dans ces SMS, ma fille conteste avec vigueur les propos de son éducatrice concernant ses prétendues relations avec des garçons ! 

Or, cette éducatrice l’incitait à avoir des relations avec des garçons et lui avait même dit qu’il fallait tester et qu’elle pouvait lui présenter un monsieur très gentil. 

Les parents de la meilleure amie de notre fille se sont portés candidats pour l'accueillir. C'était une idée avancée par sa mère qui préfère que sa fille habite chez une famille en laquelle nous avons toute confiance plutôt que dans un foyer. 

Les éducatrices sont entrées en contact avec cette famille et pour la faire changer d’avis, elles lui ont précisé que l’ASE ne leur versera que 500 € par mois et qu’en plus, elle devra déménager pour prendre un logement plus grand. 

Par contre, l’ASE est beaucoup plus généreuse envers les foyers puisqu’elle leur verse 6.000 € par mois pour des prestations identiques !

Je n’étais pas contre l’idée que ma fille soit accueillie par la famille de sa meilleure amie mais je préfère garder ma fille avec moi, comme elle l'a toujours demandé. 

Extraire des enfants de leur environnement familial est illégal et la Cour ne peut pas statuer en l’absence d’intimé. 

Le jugement a été pris sur des faux motifs : à la première page du jugement, il est précisé que la mère de mes enfants et notre fille aînée étaient absentes et à la page suivante, il est précisé que la mère de mes enfants a donné son accord pour le placement de ses enfants. 

Voici la composition de la Cour : 

1. Monsieur Laurent GEBLER, président de chambre (Madame CHABERT n’a pas menti, le président était un homme et a pris le parti de l’entreprise Olga Spitzer). 

2. Madame Sylvie GARCIA, conseillère chargée d’instruire l’affaire. 

3. Madame Marion PRIMEVERT, conseillère, (elle n’était pas présidente). 

4. Wendy PANG FOU, greffière. 

L’arrêt rendu est tout simplement hallucinant, arguant que les parents sont convaincus de l’existence d’un complot visant à leur enlever leurs filles pour les livrer à la prostitution. 

Or, j’ai fourni toutes les preuves et tous les témoignages en ma possession au soutien de mes arguments.

La Cour écrit : « Les parents se montraient agressifs et menaçants envers les travailleurs sociaux. Sur son lieu de placement, Laura pouvait se montrer manipulatrice et semblait exercer une forme d'emprise sur les autres jeunes. » 

Ce sont les propos que Madame CHABERT m’a dit avant l’audience, mots pour mots. 

Par les deux jugements précédents, nous n’avons jamais été accusés de violence ou d’agression, ni par la première juge, ni par la deuxième, ni par la substitute du procureur, ni par la partie intimée, ni par Olga Spitzer ! 

Seul le président de la Cour d’Appel a demandé qu’une plainte soit déposée contre nous, ce qui n’a jamais eu lieu et prouve la corruption de ce magistrat. 

En aucun cas un magistrat ne peut demander à une des parties d’organiser une plainte afin de pouvoir faire chanter l’autre partie, ce qui prouve que le président de la Cour d’Appel, pôle 3 Chambre 6, Monsieur Laurent GEBLER, n’était pas impartial. 

Il faut souligner que l’appel était contre un jugement daté du 29 mars 2023 et non pas contre le jugement du 6 juillet 2022. 

Nous avons déposé plainte contre la substitute sur le fondement de l’article 433-1 du Code pénal, mais le parquet a classé la plainte sur le fondement de l’article 40-1 du Code de procédure pénale

L’arrêt de la Cour d’appel dit: « Le 6 juillet 2022 le juge des enfants ordonnait la mainlevée du placement, l’estimant prématuré. »

Ce motif est étrange car un placement est la dernière solution et, selon le juge, l’éducatrice était chargée de provoquer nos enfants afin qu’elles soient prêtes à être extraites de leur environnement familial. 

Sa mission était d’aider la mesure de placement. 

Or, la magistrate a écrit : « donnons mainlevée du placement de Laura et remettons la mineure à ses parents. » et, à l’audience, elle a dit que placement était injuste et exagéré. 

Le mot « prématuré » n’a jamais été utilisé sur les 4 pages du jugement du 6 juillet 2022 et le changement de juge avait pour but de changer la décision de nous rendre notre fille. 

La première magistrate a refusé de collaborer avec l’entreprise présumée chargée de trafics d’enfants. 

Il est très surprenant que, dans un pays européen, une entreprise peut muter un juge pour changer un jugement. 

La magistrate écrit : « Dès lors, la poursuite du placement de Laura ne nous apparaît pas opportune. » 

Le mot « prématuré » n’existe toujours pas. 

Par contre, la corruption de président du Pôle 3 chambre 6 est belle et bien présumée ! 

Non seulement la Cour a négligé les témoignages apportés sur les trafics d’enfants de l’entreprise Olga Spitzer, mais elle n’a pas demandé d’investigation sur les preuves de l’exploitation sexuelle des enfants par cette entreprise. 

Le président souhaitait dont que les enfants soient préparées à être enlevées de leur parents. 

La Cour d’appel a ordonné l’exécution d’un jugement que le Conseil départemental du Val-de-Marne ne pouvait pas légalement exécuter car l’article L 121-9 du Code général de la fonction publique l’interdit. 

La Cour d’appel ne pouvait pas confirmer le jugement puisqu’il était fondé sur un délit de détournement de la vérité. 

La violation des règles du droit par la Cour d’appel ne se limitait pas à confirmer une altération de la vérité et à la violation de l’article 441-1 du Code pénal, mais il y a eu également dissimulation d’un crime. 

Selon une pièce versée aux débats, Olga Spitzer mettait des enfants à la disposition de magistrats. 

Selon plusieurs autres pièces, cette entreprise procédait au trafic d’enfants. 

La Cour d’Appel avait obligation de transmettre les informations obtenues sur ces crimes aux juridictions répressives et ne pouvait pas examiner l’affaire avant qu’une juridiction répressive enquête sur l’exploitation sexuelle des enfants. 

Troisième jugement 

L’affaire revient devant le même juge et j’ai expliqué sa décision et ses motifs sur un blog. 

Notre fille a demandé à son éducatrice de vivre avec son père. 

Or, elle lui répond que le juge a déjà décidé de son placement. 

Il ne s’agit pas d’un jugement. 

Quand la juge a demandé à notre fille si elle voulait vivre avec son père et que celle-ci a répondu par l’affirmative, elle a répondu à notre fille que son père a publié contre elle sur internet et qu’il doit en assumer les conséquences, et qu’elle ne vivra pas avec lui mais ira dans un foyer. 

Il s’agit purement et simplement d’un règlement de comptes !

Nous avons été privés d’un jugement équitable, puisque la mère de mes enfants et moi-même n’avons pas été autorisés à consulter les pièces utilisées par la partie adverse. 

Je n’ai pu consulter le dossier que pendant 45 minutes avec interdiction d’avoir une copie ou prendre des photographies. 

Le principe du contradictoire n’a pas été respecté et nous a empêchés d’obtenir un jugement équitable.

A la page 4 du jugement, une psychologue que je ne connais pas et que je n’ai jamais rencontrée, Madame MONTANARI, écrit : « Nous restons inquiets quant au fonctionnement PSYCHIQUE taxé d’éléments délirants de Monsieur XXXXX. Une expertise psychiatrique nous semble indispensable pour évaluer ses troubles et leur impact sur les enfants.» 

Ces « éléments » n’ont pas été transmis au tribunal et nous n’avons jamais pu les consulter. 

La psychologue a refusé d’endosser la responsabilité de ses écritures qu’elle a co-signées avec Madame ABOUDOU NASSOR, l’éducatrice de notre fille, musulmane voilée. 

Si elle pense être une bonne musulmane, elle se trompe car en Islam, collaborer avec des entreprises chargées d’exploiter des enfants et les prostituer est interdit. 

C’est ce que j’ai dit à Madame ABOUDOU NASSOR qui m’a répondu ce qui suit :
"Je vous ai sauvé la vie car vous êtes allé trop loin, les informations et les documents que vous avez trouvés mettent en cause des hautes personnalités, et le président de la Cour d’Appel a demandé à Madame Clotilde LAMBERT de vous éliminer. Madame Clotilde LAMBERT ne voulant pas avoir de sang sur les mains, celle-ci a avancé l’idée de vous faire interner dans un hôpital psychiatrique. Elle m’a demandé de trouver un psychologue qui puisse produire un certificat. J'ai parlé avec le juge qui a dit qu’elle ne vous autorisait pas à consulter le rapport."

Ainsi, les pièces que le Tribunal ne veut pas que l’on consulte sont provisoirement enlevées du dossier et le greffier a commis une erreur en laissant la lettre de la psychologue dans le dossier. 

Lorsque j’ai reçu la convocation du Tribunal pour consulter le dossier, une fausse adresse électronique m’a été communiquée et ma demande m’a été retournée sous la forme d’un message d’erreur. 

Il y avait aussi un numéro de téléphone mais qui n’était le bon. En effet, le numéro qui m’a été communiqué correspondait à celui du juge des affaires familiales et pas celui Tribunal pour enfants. 

J’ai enfin réussi à obtenir un rendez-vous auprès du greffe pour consulter le dossier à l’insu du juge qui, lorsqu’il l’a découvert, ne m’a autorisé qu’à une consultation de 45 minutes pour plus de 200 pages. 

J’ai informé Madame ABOUDOU NASSOR que la famille de confiance qui devais prendre en charge notre fille avait été traitée de manière différente par rapport à l’entreprise Olga Spitzer. 

Le règlement n° 1/2003 du Conseil du 16 décembre 2002 relatif à la mise en œuvre des règles de concurrence prévues aux articles 101 et 102 du TFUE interdit qu’une famille d’accueil se voit proposer la somme de 500 € par mois et qu’une entreprise se voit proposer la somme de 6.000 € par mois pour une prestation identique en tous points. Il s’agit d’un traitement différent aux cas identiques. 

Madame ABOUDOU NASSOR a répliqué que c’était le Service de l’Aide Sociale à l’Enfance qui privilégie les entreprises par rapport aux familles d’accueil. 

J’ai écrit à la remplaçante de Madame Céline BOUGHRARA, Madame CHENAF, que selon l’article L 121-11 du Code général de la fonction publique : « Les agents publics se conforment aux dispositions du second alinéa de l'article 40 du CPP pour tout crime ou délit dont ils acquièrent la connaissance dans l'exercice de leurs fonctions. » et que s’il existait des « éléments délirants » dans le dossier, alors elle devait me les communiquer. 

Même si je suis fou, la loi et les règles du droit restent en vigueur. 

En ex-URSS, les services du KGB internaient les scientifiques opposants. 

La mafia du trafic d’enfants utilise exactement la même méthode pour écarter les parents victimes de l’extraction de leurs enfants de leur environnement familial. 

Afin que Madame le juge ne puisse pas déclarer que mes propos étaient incohérents ou délirants (« L’hypothèse que Laura vive seule avec son père n’est ni réaliste ni suffisamment protectrice. »), j’ai demandé que notre audience soit filmée, ce que la juge s’est empressée de refuser. 

Madame Clotilde LAMBERT déclare que vivre avec moi n’est ni réaliste, ni suffisamment protecteur.

Or, elle-même a écrit dans son premier jugement que je ne suis pas violent : « Monsieur ne veut ni contraindre ni contrarier ses filles souhaitant qu’elles respectent les règles d’elles-mêmes. Il peut cependant les rémunérer pour qu’elles adoptent les comportements souhaités. » 

Elle a demandé à l’éducatrice de notre fille qu’elle trouve un psychologue afin de produire un rapport précisant que je suis fou, elle s’est engagée à ce que ce rapport ne soit pas porté à ma connaissance et finalement elle justifie à mon enfant mineure qu’il s’agit d’un règlement de comptes. 

Sur une trentaine de pages, j’ai expliqué l’intérêt économique d’un placement. Le bénéfice minimum que peux retirer l’entreprise avec nos deux enfants s’élève à 10.000 € par mois 

J’ai dénoncé le fonctionnement des services sociaux pour extraire les enfants de leur environnement familial en fournissant des pièces incontestables et incontestées. 

Selon la Convention européenne du 25/01/1996 sur l'exercice des droits des enfants : « Article 6 Processus décisionnel Dans les procédures intéressant un enfant, l'autorité judiciaire, avant de prendre toute décision, doit : b-- permettre à l'enfant d'exprimer son opinion; c --tenir dûment compte de l'opinion exprimée par celui-ci. » 

La primauté du droit communautaire a été imposée par la jurisprudence de la Cour de Luxembourg, notamment par l’Arrêt Costa contre ENEL du 15 juillet 1964 : L’interdiction d’un débat contradictoire frappe par nullité le jugement et le rend inexécutable ; L’interdiction d’accès aux pièces d’un procès viole le droit à un procès équitable.

La mère de mes enfants n’est pas considérée folle et a le droit de faire opposition au jugement et demander que le rapport secret concernant ma prétendue folie soit écarté du dossier. 

Si le juge a un doute concernant mon équilibre psychologique, elle peut demander à un expert d'évaluer si je suis dangereux pour mes enfants. 

Notre fille a menacé le juge de se suicider ou de se réfugier à l’étranger si elle était placée en foyer.

Pour bien terminer son travail de torture envers notre fille, le juge a tout simplement décidé qu’elle n’avait pas le droit d’aller aux Pays-Bas rendre visite à sa tante paternelle qui vit là-bas ou bien en Allemagne, lieu de résidence de son oncle paternel. 

Or, la libre circulation dans l’espace Schengen est un droit communautaire. 

Les Pays-Bas et l’Allemagne sanctionnent très sévèrement la prostitution infantile et le trafic d’enfants n’existe pas. 

Les parents ont donc parfaitement le droit d’envoyer leur enfant dans un autre pays européen s’ils estiment qu’il sera mieux protégé qu’en France. 

Le juge sait parfaitement que les foyers sont dangereux. 

Notre fille n’a que 15 ans et elle ne peut pas résister face à des agresseurs : « Aucune place n’a été trouvée pour Laura et il a été choisi de ne pas l’orienter en foyer d’accueil d’urgence au regard du risque important de mise en danger. » 

Le juge sait parfaitement qu’en France tous les foyers sont moins sécurisés que le domicile des parents. 

Aux termes de l’article L112-3 du Code de l'action sociale et des familles : « La protection de l'enfance vise à garantir la prise en compte des besoins fondamentaux de l'enfant, à soutenir son développement physique, affectif, intellectuel et social et à préserver sa santé, sa sécurité, sa moralité et son éducation, dans le respect de ses droits. » 

Conformément à l’article 375-1 du Code civil, « le juge des enfants doit toujours s’efforcer de recueillir l’adhésion de la famille à la mesure envisagée et se prononcer en stricte considération de l’intérêt de l’enfant ». 

L’intérêt de mon enfant est de vivre avec son père comme elle l'a demandé. 

Nous n’avons pas financièrement la possibilité de saisir la Cour pénale internationale. 

Le jugement précise : 

« Laura était d’abord en demande du placement pour ensuite exprimer l’envie de vivre seule avec son père » (page 2, paragraphe 8). 

(Laura) « Elle demande à vivre seule avec son père » (page 3, ligne 5). 

(Sa mère) « Elle préfère que monsieur vive seul avec Laura » (page 3, ligne 12).  

J’ai demandé à quitter la maison familiale avec ma fille. 

C’est à partir de ce moment-là qu’ils ont vu l’argent qu’ils pouvaient gagner sur le dos de ma fille s’éloigner et qu’ils ont décidé de me faire passer pour fou. 

La lettre co-signée par Mesdames ABOUDOU NASSOR et MONTANARI prouve qu’elles sont toutes les deux présumées corrompues : « Monsieur se présente dans une certaine logorrhée. Il a du mal à rester centré sur ses filles obsédé par le coût d’un placement et le profit fait par les foyers ainsi que la prostitution organisée des mineurs en foyer selon lui. »

https://association-adfcr.blogspot.com/p/la-prostitution-infantile-en-france-la.html
https://association-adfcr.blogspot.com/2023/05/Placement%20abusif.html

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