TRAFIC D'ENFANTS
La France est signataire de la Convention des Nations Unies relative aux droits de l'enfant qui stipule que les États parties doivent prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger les enfants contre toutes les formes d'exploitation sexuelle et de violence (article 34). En vertu de cette convention, l'intérêt supérieur de l'enfant doit être une considération primordiale dans toutes les décisions le concernant (article 3).
La France a aussi ratifié le Protocole facultatif à la Convention relative aux droits de l'enfant concernant la vente d'enfants : « a) On entend par vente d'enfants tout acte ou toute transaction en vertu desquels un enfant est remis par toute personne ou de tout groupe de personnes à une autre personne ou un autre groupe contre rémunération ou tout autre avantage ; » (article 2).
La France a mis en place des lois et des procédures visant à protéger les enfants en situation de danger, notamment à travers le code de l'action sociale et des familles (CASF).
Dans les affaires familiales, les juges sont tenus de prendre des décisions conformément à l'intérêt supérieur de l'enfant. Cela implique donc d'évaluer tous les éléments pertinents, y compris le bien-être émotionnel, physique et psychologique de l'enfant, ainsi que ses relations familiales.
La Convention Internationale des Droits de l'Enfant (CIDE) doit absolument être respectée et la violation volontaire de cette convention doit être sanctionnée comme tentative de trafic et d’exploitation des enfants.
Dans le cadre de la procédure, le tribunal doit entendre l'enfant en fonction de son âge et de sa maturité afin de prendre en compte ses souhaits et ses opinions. Après avoir examiné tous les éléments de preuve et entendu les parties, le tribunal rendra une décision en tenant compte de l'intérêt supérieur de l'enfant.
Or, le trafic et l’exploitation sexuelle des enfants sont très lucratifs et gérés par des hauts fonctionnaires de l’ASE et des magistrats chargés des affaires des enfants.
En juillet 2017, nos enfants ont été témoins de l’agression de leurs parents et de leur grand-mère sur leur lieu de vacances par deux policiers chargés de la protection des prostituées.
Enfant à haut potentiel intellectuel, notre fille Laura a sauté une classe. À la suite de cette agression, elle a changé de comportement. Elle a développé une haine du monde des adultes, de leur autorité et de la police. Elle s’est inscrite à un cours de langue arabe et risquait de se radicaliser.
La mafia des juges collaborait avec la mafia de la prostitution et nous avons informé le Conseil Supérieur de la Magistrature qui n’a pas réagi.
Quant à sa sœur aînée Sandrin, celle-ci est jusqu’à maintenant suivie par une psychologue.
Nous avons inscrit notre fille Laura dans un internat car elle craignait que nous soyons agressés chez nous. C’est ainsi que l’assistante sociale dudit internat nous a proposé de demander de l’aide auprès des services sociaux de l’aide à l’enfance, ce que nous avons accepté.
Nous n’avons jamais su si cette assistante sociale voulait réellement nous aider ou bien si elle voulait tout simplement collaborer avec Mme BOUGHRARA Céline et l’organisation de trafics d’enfants.
Le 28 avril 2022, la mère de mes enfants a signé un accord d’accompagnement avec Madame DEBRET. Cet accord était ambigu et douteux et c’est pour cela que j’ai refusé de le signer.
Selon ce contrat, en cas de crises ou de tensions, la mère de mes enfants pouvait faire appel aux services de l’ASE et demander de l’aide aux éducatrices.
L’intention malhonnête dissimulée est définie par l’article 5 de cet accord d’accompagnement : « L’Objectif de tous est qu’à la fin du contrat, l’enfant retourne dans sa famille. »
Or, pour qu’un enfant puisse retourner dans sa famille, il faut d’abord qu’il l’ait quittée, ce que la mère de mes enfants a refusé de croire.
« Accompagner les parents dans la construction d’un cadre éducatif commun. » et « Accompagner la famille vers une médiation familiale. » étaient les objectifs de ce contrat.
Jusqu’au 2 juin 2022, date d’intervention de l’éducatrice d’Laura , il n’y a pas eu de problème particulier. C’est à partir du moment où elle est intervenue que la situation a dérapée.
Laura refusait d’aller au collège et son éducatrice, Diane ABE, était chargée de nous aider.
Début juin, j’ai informé la mère d’Laura que l’éducatrice était dangereuse et qu’elle avait pour objectif de faire voler en éclats notre foyer familial.
Diane ABE s’est rendue à notre domicile et, en ma présence et devant notre fille, a dit : « Les parents n’ont pas le droit de punir leur enfant ; l’enfant a le droit de se défendre ; le téléphone portable fait partie de la vie privée de l’enfant et les parents n’ont pas le droit de le prendre. »
Scandalisé, j’ai contesté en expliquant à l’éducatrice que les parents ont un devoir et une obligation d’éducation et ont le droit de punir leur enfant en le privant de son téléphone portable pendant une durée qui dépend de la gravité de l’acte. J’ai ajouté que les parents n’ont pas le droit d’exercer de violence, qu’elle soit physique ou psychologique, ni de priver leur enfant de nourriture. Cependant, ils ont le droit de le priver de son téléphone. D’ailleurs, nous n’avions pas le code d’accès au téléphone de notre fille.
J’ai constaté que l’éducatrice manquait de formation et qu’il s’agissait, ni plus, ni moins, d’une provocation d’un enfant contre ses parents.
Je lui ai proposé de lui donner des exemplaires du code civil, du code de procédure civile, du code pénal et du code de procédure pénale, et je lui ai lu l’article 371 du code civil : « L'enfant, à tout âge, doit honneur et respect à ses père et mère. »
Les conseils que l’éducatrice a donné à Laura n’ont fait que l’inciter à désobéir et à se rebeller.
Le jeudi 9 juin 2022, Laura a refusé d’aller à l’école. Elle avait pour habitude d’utiliser son téléphone portable toute la nuit et prétendait avoir mal à la tête. Elle savait que, dans ce cas, son téléphone serait confisqué jusqu’à midi pour qu’elle puisse dormir et qu’il s’agissait d’une sanction qu’elle avait toujours acceptée ; elle nous donnait toujours son téléphone d’elle-même.
Pendant tout le temps où sa mère a essayé de récupérer son téléphone, Laura s’est acharnée sur elle à coups de pieds car elle pensait avoir le droit de se défendre puisque l’éducatrice le lui avait dit devant nous.
L’éducatrice savait que la mère d’Laura est handicapée et que je ne ferais rien parce que je suis moi aussi handicapé et contre toute forme de violence, mais également étranger, et que je ne voulais pas risquer de me retrouver au commissariat de police. C’était pour l’éducatrice une manière d’obliger la mère d’Laura à demander son intervention. Laura continuait de frapper sa mère et avait réussi à récupérer son téléphone tout en lui arrachant quelques cheveux qu’elle me montrait avec fierté. C’est alors que je suis intervenu et que je lui ai confisqué son téléphone.
Elle s’est alors précipitée vers ma chambre, a cassé mon ordinateur, mon imprimante et mon scanner. Je n’ai pas réagi. Je pensais qu’elle avait besoin de casser quelque chose pour se calmer et la valeur marchande des objets cassés n’avait pas d’importance pour moi.
N’ayant plus sa fille sur le dos, sa mère en a profité pour appeler les responsables de l’ASE qui ne répondaient pas. En désespoir de cause, elle a téléphoné à la police qui a refusé d’intervenir. Elle a finalement réussi à joindre l’éducatrice qui est venue récupérer Laura à 11 heures.
La cause de cette provocation
Il n’existe aucune transparence sur le prix des transactions effectuées entre les fonctionnaires chargés de protéger un enfant et les entreprises privées bénéficiaires des placements.
Nous avons trouvé deux arrêtés qui précisent le prix d’un enfant :
Le prix d’une semaine de Placement Éducatif A Domicile (PEAD) : 58,09 € ; une éducatrice intervient deux jours par semaine pour une durée d’une heure de contact avec l’enfant.
Le prix d’une journée de la MECS (Maison d’Enfants à Caractère Social) : 201,37 €.
Ces deux arrêtés fixent le prix d’une transaction entre une entreprise privée et le département. C’est ainsi qu’une entreprise qui gère les placements d’enfants a tout intérêt à changer un contrat de placement à domicile pour un placement en foyer.
En 2023, le budget consacré à l’ASE du département du Val-de-Marne s’élevait à plus de 173.000.000 € par an.
Le jeudi 16 juin 2022, nous avons été convoqués au siège de la Fondation La Vie Au Grand Air. Selon le contrat signé entre la mère de mes enfants et les services sociaux, notre fille Laura ne devait rester qu’un maximum de 5 jours (système de repli) en cas de crise et le contrat prévoyait « une médiation familiale »
Cela faisait une semaine que nous n’avions aucune nouvelle de notre fille, nous ne savions pas si elle était en bonne santé ou pas. Rien ne nous a jamais été communiqué à son sujet.
Madame RIDOUH, cheffe de service, nous a révélé que le procureur de la République avait ordonné une enquête, qu’un médecin était intervenu pour établir un certificat médical et qu’une ordonnance de placement avait été rendue interdisant tout contact entre nous et notre fille. Ce qu’elle voulait, c’est que nous lui confions de plein gré notre fille pour éviter une condamnation, ce que nous avons refusé.
Nous avons subi une manœuvre d’intimidation qui ne pouvait pas être réalisée sans l’accord de Madame Maud BESNARD, substitut du procureur, et Madame Céline Boughrara.
Elles ont violé sciemment et intentionnellement les articles 3, 9 et 12 de la CIDE pour assurer l’intérêt commercial d’une fondation.
Madame Céline BOUGHRARA nous a accusés d’être des parents violents pour justifier l’extraction de notre enfant de son environnement familial et amical.
La magistrate avait l’obligation de nous entendre, ainsi que notre fille.
En notre qualité de parents, nous avons le droit et le devoir de surveiller le bon déroulement des études poursuivies par notre fille.
Grâce à Pronote, nous savons que pendant son placement en foyer, elle n’allait plus au collège.
En tant qu’élève externe, Laura rentrait manger à la maison tous les jours entre 12 h 00 et 13 h 20. Elle a donc passé des journées entières non seulement sans surveillance, livrée à elle-même, mais également sans manger.
Aux termes de l’article L112-3 du code de l'action sociale et des familles : « La protection de l'enfance vise à garantir la prise en compte des besoins fondamentaux de l'enfant, à soutenir son développement physique, affectif, intellectuel et social et à préserver sa santé, sa sécurité, sa moralité et son éducation, dans le respect de ses droits. »
C’est ce que la mère d’Laura a crû en faisant appel aux services sociaux.
Conformément à l’article 375-1 du code civil, « le juge des enfants doit toujours s’efforcer de recueillir l’adhésion de la famille à la mesure envisagée et se prononcer en stricte considération de l’intérêt de l’enfant ».
L’extraction d’un enfant de son environnement familial est traumatisante, à la fois pour l’enfant et pour ses parents.
L’altération et l’obstruction de la manifestation de la vérité sont deux délits graves. Les actes et les réactions des services de l’ASE du département du Val-De-Marne et de la fondation La Vie Au Grand Air sont très nuisibles à la moralité d’Laura et le juge devait tenir compte de son intérêt.
L’ASE du département du Val-De-Marne et la fondation La Vie Au Grand Air ont violé le contrat que la mère d’Laura a signé, ont abusé de notre confiance et ont entraîné Laura dans une relation conflictuelle avec ses parents.
Lorsque Madame ABE est venue récupérer chez nous notre fille Laura le 9 juin 2022, elle l’a amenée chez un médecin auquel elle a demandé de produire un certificat médical de plus de 8 jours car ses parents l’auraient maltraitée et auraient été violents envers elle. Le médecin n’ayant constaté aucun hématome sur le corps de notre fille, il a refusé. Il a seulement délivré un certificat médical justifiant son absence pour le collège, tout en mentionnant n’avoir constaté ni hématome, ni violence à son égard.
Le procureur de la République est présumé avoir été corrompu par l’ASE, et si cette hypothèse est confirmée, il y a des liens évidents avec un réseau de trafic d’enfants.
L’ordonnance a été rendue sur l’unique prétention des personnes qui, dès le premier contact avec Laura , envisageaient de la retirer de son environnement familial et amical. Elles ne recherchaient ni son intérêt, ni le respect des règles de droit, mais uniquement l’intérêt commercial de La VAGA, présumant ainsi la corruption de l’administration qui a donné l’ordre au parquet et qui motive sa décision de la manière suivante : « Attendu qu'il en ressort que la santé, la sécurité, la moralité, l'éducation ou le développement physique, affectif, intellectuel et social d'Laura et de sa sœur Sandrin …. sont gravement compromises. »
La substitute du procureur écrit : « Que la mineure est psychologiquement et physiquement dans un état de grande fatigue, qu'elle évolue dans un climat insécurité en fuyant le domicile, qu'elle est par ailleurs en décrochage scolaire et se met en danger avec des actes de délinquance. Que l'examen de la mineure aux UCMJ a conclu à un jour d'ITT, qu'une ordonnance de placement provisoire a été rendue car la solution de repli prenait fin, qu'il y a lieu de saisir le juge des enfants de la situation d’Laura mais également de celle de Sandrin. REQUÉRONS qu'il plaise à Madame le juge des enfants d’ordonner tout mesure d’assistance éducative nécessaire fait le 22 juin 2022 pour le procureur de la république Maude BESNARD. ».
Toutefois, le juge peut être saisi à condition que le président du Conseil départemental a déjà tenté une ou plusieurs actions mentionnées aux articles suivants : « 1° L. 222-3, L 222-4-2 du code de l'action sociale et des familles, et que celles-ci n'ont pas permis de remédier à la situation ; ».
La saisine du procureur par l’ASE était une dénonciation calomnieuse punie par l’article 226-10 du code pénal de cinq ans d'emprisonnement et de 45.000 euros d'amende.
Cependant, la fausseté du fait résulte nécessairement de la décision du juge du 6 juillet 2022. La magistrate a constaté par ce jugement que les accusations de violence et de maltraitance n’étaient pas imputables à la famille. Nous n’avons pas interjeté appel et le jugement a été confirmé.
Nous n’avons jamais refusé de collaborer avec l'ASE, bien au contraire, et il ne s'agit en aucun cas de maltraitance. Le président du Conseil départemental du Val-de-Marne, Monsieur Olivier CAPITANIO, savait parfaitement qu’en tant que victimes de dénonciation calomnieuse, nous pouvions et avions le droit de demander réparation des préjudices subis. Il ne faisait probablement pas partie de l’organisation du trafic d’enfants et c’est pourquoi il a ordonné de se désister de continuer la procédure.
L’organisation du trafic et d’exploitation sexuelle des enfants en France est très puissante et a donc immédiatement muté la juge et l’a remplacée par Madame Clotilde Lambert.
Madame Armelle GUIRAUD avait lu tous les rapports et les a cités afin que nous puissions en prendre connaissance et que nous puissions les utiliser devant des juridictions correctionnelles ou internationales. Ni les rapports des éducatrices, ni ceux de l’ASE, ni la requête du substitut du procureur ne nous ont été communiqués. En nous dévoilant l’objectif de la mafia du trafic d’enfants, elle nous a terrorisés. Cependant, elle n’a tenu compte que de ce que l’enfant lui a demandé et de l’article 9 de la CIDE.
D’abord, la juge a demandé à s’entretenir en privé avec notre fille et a motivé sa décision sur sa déclaration : « J’ai l'impression que là-bas j'aurai jamais l'amour de mes parents »
Nous avons été informés par une lettre anonyme de la corruption de la nouvelle juge et cette lettre nous précisait le motif du jugement et le montant de la transaction. Le montant de la transaction était de 15.000 € par enfant. Or, une lettre anonyme n’a aucune valeur juridique mais elle contenait des informations très confidentielles. Afin que le juge ne puisse pas motiver le placement, ma fille aînée et sa mère se sont abstenues de se présenter au tribunal, ce que la greffière a mentionné. Le président du Conseil départemental du Val-de-Marne, Monsieur Olivier CAPITANIO, a probablement été informé de la corruption de la magistrate. Il a donc ordonné au chef de l’organisation du trafic d’enfants, Madame Céline BOUGHRARA, de se désister. En fait, quand les parents collaborent avec l’ASE, celle-ci ne peut pas saisir le parquet ou une juridiction. Quand un magistrat est corrompu, la partie adverse est présumée corruptrice et dans notre affaire, la partie adverse est le président du Conseil départemental du Val-de-Marne.
Le 29 mars 2023, le jugement a été signé, mais le département a refusé de l’exécuter. L’article L121-91 du code général de la fonction publique n’autorise pas l’exécution d’un jugement obtenu par la corruption du juge. En première page du jugement, la greffière a mentionné l’absence de deux personnes à l’audience. Madame Clotilde LAMBERT ne peut pas prétendre que deux personnes absentes pouvaient s’exprimer et motiver son jugement par les déclarations de personnes qui n’étaient pas présentes à l’audience.
En droit français, un objet jugé par une juridiction ne peut pas être rejugé pour la deuxième fois par la même juridiction en changeant simplement le juge.
« Attendu qu'il en ressort que la santé, la sécurité, la moralité, l'éducation ou le développement physique, affectif, intellectuel et social d’Laura et de sa sœur Sandrin …. sont gravement compromises.» C’est exactement ce que l’ASE avait écrit mot pour mot et la première magistrate a déclaré la fausseté de ces accusations. La substitute du procureur et l’ASE n’ont pas repris ces accusations. Suite au désistement de l’ASE, c’est l’association Olga Spitzer qui l’a remplacée.
Nous avons interjeté appel
La Cour d’Appel, Pôle 3, Chambre 6, ne pouvait pas réexaminer l’affaire et avait l’obligation de la transférer à une juridiction répressive.
Le motif du jugement était que ma fille aînée demandait à être placée et que sa mère avait donné son accord.
Le jugement repose sur une fausse affirmation. Rendre un jugement sur cette base alors que les deux étaient absentes à l’audience constitue une altération de la vérité en vertu de l'article 441-1 du code pénal. Dans le cas d’espèce, selon l’article 441-2, la sanction est de sept ans d’emprisonnement.
L’ASE s’est désistée et Olga SPITZER n’avait pas la capacité d’ester en justice.
En l’absence de violence de la part des parents sur leurs enfants, la Convention internationale des droits de l'enfant interdit l’extraction d’un enfant de son environnement familial.
En ce qui concerne la protection des enfants, la justice française est malheureusement défaillante, ce qui nécessite l’intervention de la Cour Pénale Internationale. Le trafic d’enfants est plus lucratif que le trafic de drogue, mais une partie des magistrats chargés des affaires des enfants sont pédophiles et les parents n’osent pas les dénoncer.
Tous les blogs concernant les contestations des victimes contre l’extraction des enfants mentionnent : « placement abusif ». Le transfert d’un enfant de chez ses parents vers une entreprise privée est un trafic d’enfants, il ne s’agit pas d’un placement.
Selon les médias, 10.000 enfants sont exploités dans des réseaux de prostitution et ils ont tous été arrachés à leurs parents par une décision de justice.
La Cour d’Appel devait réexaminer le jugement et non pas rejuger l’affaire.
En effet, divers éléments interdisaient le réexaminer le jugement :
1- Selon les termes de l’article 117 du code de procédure civile, le défaut de la capacité d’ester en justice constitue une irrégularité de fond affectant la validité de l'acte.
2- Le principe d’immutabilité du litige ne permettait pas à la Cour d’Appel de modifier le litige.
3- La Cour d’Appel aurait dû ajourner l’audience et l’état de paranoïa du père devait être confirmé par un expert avant d'être pris en compte.
De plus, je tiens à souligner des faits extrêmement graves concernant la présomption de corruption de Madame Clotilde LAMBERT. Il est essentiel que la justice reste impartiale et respectueuse des droits de l'enfant, comme stipulé par la Convention Internationale des Droits de l'Enfant.
J’ai expliqué à Mesdames Sylvie GARCIA, conseillère chargée d'instruire l'affaire, et Marion PRIMEVERT, conseillère de la cour d’Appel, les violations flagrantes des principes du droit français et de la Convention internationale des droits de l'enfant par Monsieur Laurent GEBLER, ainsi que la présomption de pédophilie qui pèse sur le président de la cour. Elles ont refusé de transférer ma lettre à une juridiction compétente.
https://trafic-enfants-foyers.blogspot.com/2024/10/a-lattention-de-madame-marion-primevert.html
https://trafic-enfants-foyers.blogspot.com/2024/10/cour-dappel-de-paris-pole-3-chambre-6.html
L’affaire est retournée devant la juridiction de premier degré avec Madame Clotilde LAMBERT, juge présumée corrompue.
Le président de la Cour d’Appel est un magistrat très connu.
Le décret du 19 août 1998 portant nomination de magistrats précise que « M. Laurent Gebler, juge, est déchargé des fonctions de juge des enfants ».
Le 29 novembre 2023, j’ai envoyé des pièces concernant le trafic d’enfants, la corruption et la pédophilie de certains magistrats et surtout la corruption de Madame Clotilde LAMBERT.
J’ai écrit à Madame Christelle CHENAF, remplaçante de Madame Céline BOUGHRARA, ce qui suit :
« Vous êtes donc tenue de saisir le procureur de la République et lui communiquer le jugement.
Le vendredi 24 novembre 2023, Laura a dit à son éducatrice, Madame Aboudou Nassor qu’elle voulait vivre avec son père. Votre employée lui a répondu que le juge était contre son père, que sa demande ne pouvait pas être acceptée et qu’elle allait être placée en foyer. Elle est donc présumée avoir violé sa mission et elle doit transmettre au tribunal la demande d’Laura qui souhaite vivre avec son père. Il vous appartient de chercher la cause du refus de votre employé d’accomplir sa mission.
La magistrate a demandé à votre éducatrice de produire l’attestation d’un psychologue précisant que son père est fou. Ce psychologue ne m’a jamais rencontré.
Nous vous demandons de rechercher qui a payé le psychologue pour établir un faux rapport.
Deux autres questions se posent : comment Madame Aboudou Nassor a-t-elle été informée de la décision du juge et qui lui a demandé de dissimuler la demande d’Laura sur son rapport ? ».
La réponse de Madame Christelle CHENAF était surprenante :
« Je ne suis que la collaboratrice administrative. Pouvez-vous s’il vous plait arrêter de m’envoyer ses mails qui ne me concernent pas.
MERCI DE NE PLUS ME TRANSFERER VOS MAILS.
Cordialement. Christelle CHENAF Collaboratrice Enfance territoire 5 ».
Le 28 novembre 2023, 24 heures avant l’audience, elle confirme que la demande de placement par Laura est fausse ainsi que le rapport produit par l’éducatrice et la psychologue mais refuse d’intervenir pour les supprimer. Elle prétend être « Collaboratrice Enfance », c’est-à-dire que la négociation sur l’extraction des enfants relève de la responsabilité de quelqu’un d’autre qui se cache derrière elle.
En droit, celui qui joue le rôle de bouc émissaire assume la responsabilité d’un crime. Or, Madame CHENAF ne peut pas jouer le rôle de bouc émissaire en jouant le rôle de collaboratrice.
La psychologue qui a signé le rapport est employée de l’ASE. Il s’agit de Madame Sonia MONTANARI qui ne m’a jamais rencontré. Selon elle, sa responsabilité est limitée à ce que Madame ABOUDOU NASSOR lui a montré : un arrêt selon lequel le président de la Cour d’appel a constaté que je suis paranoïaque.
La première magistrate, Madame Armelle GUIRAUD, fait une distinction entre les paroles réelles des enfants et les paroles officielles. Les paroles réelles sont celles que les enfants expriment à l’audience et les paroles officielles sont les rapports des assistantes sociales.
La première magistrate considère que les paroles officielles sont l’opposé des paroles réelles. Laura a officiellement demandé à être placée mais a réellement dit que dans le cas d’un placement, elle se suiciderait. La déclaration de la psychologue est fondée sur les deux documents suivants :
L’arrêt du président de la Cour d’appel parce que j’ai refusé qu’il auditionne ma fille dans une chambre d’hôtel.
Le jugement de Madame Clotilde LAMBERT en date du 29 mars 2023.
En ce qui concerne Madame Sonia MONTANARI, sa hiérarchie lui a donné son accord pour cosigner le rapport insinuant que je suis fou.
Afin d’éviter d’être envoyée dans un foyer, notre fille a demandé aux parents de sa meilleure amie de l’accueillir en tant que famille d’accueil, ce qu’ils ont immédiatement accepté. Madame ABOUDOU NASSOR s’est rendue chez les parents de son amie et les a informés que notre fille n’est pas musulmane et porte le foulard uniquement pour tromper son père et avoir des relations sexuelles avec des garçons. Ces dénonciations sont des tortures et de la violence morale.
Les écritures de la magistrate Madame Clotilde LAMBERT sont des preuves de tortures volontaires exercées sur notre enfant.
« La famille EL Mofti a envisagé d’accueillir Laura , imaginant même une réorganisation du logement pour elle. Cependant, Ceux-ci ont finalement renoncé à leur demande d’être tiers dignes de confiance pour des raisons financières mais aussi de lien entre Laura et Assia. Les deux parents étaient favorables à l’accueil de leur fille chez les EL Mofti en qualité de tiers dignes de confiance ».
La famille El Mofti est une famille musulmane qui a même envisagé de changer d’appartement pour avoir plus d’espace pour mieux accueillir notre fille. C’est ainsi que pour protéger sa fille d’une amie qui se sert de la religion pour tromper son père et fréquenter des garçons, elle refuse finalement de l’accueillir comme cela avait été prévu.
Le deuxième motif est que pour garder Laura , l’ASE verse seulement 500 € à la famille d’accueil alors que les foyers perçoivent 6.000 € par mois. Il s’agit d’une discrimination flagrante entre les entreprises privées et les familles de confiance pour exactement un même service rendu.
« Laura était d’abord en demande du placement pour ensuite exprimer l’envie de vivre seule avec son père. »
« Les mineures ont donc tendance à choisir un de leur parent en fonction de ce qu'elles veulent. »
C’est à dire que les enfants ont une préférence pour l’un de leurs deux parents et que l’une préfère rester avec son père et l’autre avec sa mère. Dans une telle situation, le juge a pour obligation de tenir compte de l’avis des enfants : aucune d’entre elles ne voulait être placée. Madame Clotilde LAMBERT doit préciser pourquoi elle a refusé de respecter l’avis des enfants. Il ne s’agit pas de prétention des parents mais de constats de la magistrate retranscrit dans son jugement.
« Madame est en demande d'un accompagnement éducatif et d'aide. »
C’est à dire que « Madame » est contre le placement.
« Après avoir préconisé qu'Laura soit confiée à Monsieur et Madame EL Mofti en qualité de tiers digne de confiance, le service gardien préconise le renouvellement du placement d'Laura pour une durée d'un an avec un droit de visite et d'hébergement parental au moins un week-end par mois et quelques jours pendant les vacances scolaires, »
La CIDE interdit l’extraction des enfants de chez ses parents contre sa volonté et son intérêt. L’ASE préconise le renouvellement du placement d'Laura alors qu’elle-même et sa famille sont contre.
« Laura explique être toujours chez ses parents, Elle demande à vivre seule avec son père persuadée qu'une décision du Juge des enfants permettrait à son père d'obtenir un logement. »
Le juge des enfants est tenu de rechercher l’intérêt supérieur de l’enfant, de tenir compte de son avis, d’éviter sa séparation d’avec ses parents. Donc, quand un enfant demande de l’aide pour soutenir son père dans sa recherche de logement, le juge a l’obligation d’ordonner à l’ASE de les aider.
« Elle préférerait que Monsieur vive seul avec Laura . »
Pour une mère, une séparation avec sa fille est douloureuse mais une mère cherche l’intérêt supérieur de sa fille. Elle savait que notre enfant ne menaçait pas le juge mais qu’elle avait réellement décidé de se suicider si elle était placée. C’est l’amour d’une mère pour sa fille qui lui a dicté ce choix.
« Il ressort des éléments du dossier que la santé, la sécurité et le développement psychoaffectif des mineures restent gravement obérés dans la situation familiale actuelle. »
« Les deux parents ayant indiqué à l'audience préférer envoyer Laura en Iran plutôt qu'elle soit placée, il convient d'ordonner son interdiction sortie du territoire afin d'éviter qu’elle ne soit soustraite au placement et mise en danger. »
La mère d’Laura est d’origine française, a été élevée dans la religion chrétienne et scolarisée dans une école catholique. Elle sait qu’en Iran, les filles n’ont pas les mêmes droits que les garçons. Ces écritures inscrites dans le jugement sont fausses : notre fille a déclaré que dans le cas d’un placement, soit elle se suiciderait, soit elle fuguerait en Iran. Sa mère était même prête à financer le départ de sa fille car elle craignait qu’elle se suicide. Quant à Laura , elle était prête à se réfugier dans un pays que son père avait fui 41 ans auparavant et qui, en 1988, l’a condamné à mort. Il était contre ce départ mais sa mère avait parlé avec la famille paternelle de sa fille et c’est pour cela qu’entre la vie et la mort de sa fille, elle a choisi sa vie.
« ORDONNE l'interdiction de sortie du territoire français de Laura Y à compter de ce jour et jusqu'au 30 novembre 2024, à charge pour le procureur de la République de faire inscrire cette interdiction au FPR ; ».
Le plus important dans cette affaire est l’utilisation détournée qui est faite de l’Islam. Je suis musulman pratiquant, sa mère est de tradition catholique mais non croyante.
En ce qui concerne l’éducatrice de notre fille, Madame ABOUDOU NASSOR elle porte le foulard, ce qui est interdit par les règles du droit administratif. Or, un musulman doit respecter les règles du droit du pays dans lequel il vit. A ce sujet, j’ai mis dans mes blogs les hadiths et les versets du Coran qui y font référence. Madame ABOUDOU NASSOR provoque les enfants musulmans contre leurs parents non pratiquants, ce qui est illégal, immoral et inhumain, et surtout contre l’Islam. J’en ai discuté avec ma fille, je lui ai montré la référence dans le livre de Boukhari, hadith n° 5979, qui explique qu’un musulman doit respecter sa mère, même si elle n’est pas musulmane. Depuis, elle entretient de bonnes relations avec sa mère et ne porte plus le voile.
Madame Clotilde LAMBERT savait parfaitement que les foyers sont chargés de recevoir les enfants estimés prématurés pour entrer dans milieu de la prostitution (maturation).
La Cour d’appel précise, par son arrêt : « Le 6 juillet 2022 le juge des enfants ordonnait la mainlevée du placement, l'estimant prématuré, ».
Selon la Cour d’appel, pour séparer un enfant de ses parents, il faut qu’il arrive à sa maturation. Les garçons doivent être suffisamment matures pour collaborer avec la mafia de la drogue et les filles pour entrer dans la prostitution. Les journalistes français ont récemment publié des informations sur des enfants de moins de 15 ans qui sont devenus des tueurs à gage.
Madame Clotilde LAMBERT dit que les foyers d’urgence sont des endroits dangereux et a promis que notre fille n’y soit pas transférée : « Aucune place n’a été trouvé pour Laura et il a été choisi de ne pas l’orienter en d’accueil d’urgence au regard du risque important de mise en danger. » Or, dès que notre fille a découvert que le soir même elle allait partir dans un foyer d’urgence, c’est à ce moment-là qu’elle a tenté de se suicider. Quand un jugement est obtenu par un paiement, l’acheteur se permet de modifier la décision. C’est pour cela que l’interdiction de placement au foyer d’urgence de notre fille n’a pas été respecté.
Les foyers ont refusé d’accueillir notre fille pour deux raisons :
A l’audience, notre fille a expliqué au juge que les éducateurs font mal aux filles et que, dans le cas d’un placement, elle se suiciderait.
Sur mes blogs, j’ai publié des articles relatifs à la corruption des magistrats par des foyers et ma fille pouvait me communiquer des informations à ce sujet.
Ce qui est primordial, c’est que la magistrate savait parfaitement ce que cela signifie lorsqu’elle écrit : « risque important de mise en danger ». Sur le plan légal, elle viole l’article 40 du CPP.
Madame Clotilde LAMBERT sait parfaitement que les éducateurs violent les enfants mais elle refuse d’informer le parquet : la collaboration avec la mafia de la prostitution des enfants ne peut pas être mieux avouée. Elle dissimule un crime parce que le viol est un acte nécessaire pour la maturation des enfants.
Suite à notre agression en 2017 sur notre lieu de vacances, une jeune prostituée s’est confiée à nous et nous a raconté son histoire. Enfant placée à la DDASS à l’âge de 13 ans, violée par son juge, son avocat et le directeur de son foyer pendant 10 jours, elle a été dressée par 4 hommes qui la violaient collectivement. Elle a ensuite été confiée à un proxénète qui la livrait à des clients entre 10 et 15 fois par jour, quelques fois plus. Elle nous a demandé de quitter la région rapidement parce que ses proxénètes étaient allés chercher du renfort et que nos vies étaient en danger. Elle nous a demandé de ne pas la dénoncer et elle nous a demandé de partir rapidement parce qu’en suite, nos enfants allaient être confiées à la DDASS (ASE).
Nous avons donc rapidement décidé de quitter la région. J’ai téléphoné à la gendarmerie pour les informer et ils m’en ont remercié.
J’ai commencé à faire des recherches sur la prostitution infantile. Tous les jugements sont secrets et il est impossible d’obtenir la moindre information.
Or, ce genre de confidentialités n’est pas dans l’intérêt des enfants mais dans l’intérêt de la mafia du trafic d’enfants et leur exploitation sexuelle. Presque tous les enfants placés ont un destin commun : leurs pères ou leurs mères sont en prison ou en faillite, sans domicile fixe, ou bien internés dans un hôpital psychiatrique.
Selon l’article 12 de la Convention civile sur la corruption, l’État doit prendre des mesures conservatoires afin de préserver les droits et intérêts des victimes de corruption.
Ma faillite
Le 12 janvier 2022, j’ai refusé le placement d’Laura après une rencontre entre ma fille, moi-même et Madame FOURNIER, et j’ai dissuadé X de continuer avec l’ASE.
Le 11 mars 2022, une somme colossale de 32.000 € a été saisie sur mes comptes bancaires.
Le 8 juillet 2016, j’ai été condamné au paiement de la somme de 10.979 € et à 2.000 € en application de l’article 700 CPC à mon ancien bailleur.
La créance d’un bailleur ou d’un locataire se prescrit sur 3 ans.
Le dernier acte date du « 31 mai 2018 rectification d’erreur affectant l’arrêt de la cour d'appel du 26 octobre 2017 ». Donc, au 31 mai 2021, la créance était prescrite.
La saisine date du 11 mars 2022. La prescription se décompte en jours.
Je n’aurais jamais pu imaginer qu’il pouvait exister un lien entre la saisine sur mes comptes et l’ASE.
Emprisonnement de la mère de mes enfants
Le 11 mars 2022, je ne pensais pas que la saisine de 32.000 € sur mes comptes avait un rapport avec le placement de mes filles et la politique de persécution de l’organisation du trafic d’enfants.
Cinq ans de prison pour une mère qui conteste le placement de ses enfants et 32.000 € pour un père qui refuse de les abandonner dans un pays démocratique, c’est extrêmement grave.
Voici un extrait du procès-verbal dressé à l’encontre de la mère de mes enfants (P-V n° 20221006867).
« Atteintes volontaire à l'intégrité physique d'une personne.
OBJET: AUDITION MME X Poursuivant l'enquête de flagrance, - Vu les articles 53 et suivants du Code de procédure pénale. »
Soit il s’agit d’un crime flagrant et Madame X doit être sanctionnée de cinq ans de prison, soit il s’agit d’une diffamation et conformément, à l’article 226-10 du code pénal, cette diffamation est punie de cinq ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende pour le plaignant.
Ce procès-verbal a, à ce jour, disparu purement et simplement de la circulation car son commanditaire était identifiable puisqu’il donnait ses ordres par téléphone à ses exécutants.
De L'utilisation de la psychiatrie punitive
Les premières informations sur les abus de l'utilisation de la psychiatrie punitive en ex-URSS parviennent en Occident dans les années 1960 elle est rendue publique lors de nombreux congrès de l'Association mondiale de psychiatrie à Mexico (1971), Hawaï (1977), Vienne (1983) et Athènes (1989).
Les affaires concernant les enfants sont jugées de manière inéquitable car les parents n’ont pas accès aux pièces du procès. Sans savoir de quoi ils sont accusés, ils sont privés de la possibilité de se défendre. Un enfant de 13 ans reçoit entre 10 et 15 clients par jour, chaque client paye entre 300 et 500 €, c’est-à-dire une somme extrêmement importante.
Le président de la Cour d’Appel, Pôle 3, Chambre 6 ne peut pas prétendre qu’il ignorait l’immutabilité du jugement.
Il ne peut pas ignorer qu’une mère absente à l’audience ne peut pas donner son avis ou son accord sur le placement de ses enfants alors qu’elle avait donné procuration au père de ses enfants pour la représenter.
Il ne peut pas nier la décision rendue par la magistrate : « Monsieur ne veut ni contraindre ni contrarier ses filles souhaitant qu'elles respectent les règles d'elles-même. II peut cependant les rémunérer pour qu'elle adoptent les comportements souhaités. »
Cependant, l’Occident refuse de reconnaître l’existence-même de la psychiatrie punitive exercée par la mafia du trafic d’enfants et de la sanctionner.
L’Association mondiale de psychiatrie attire l'attention sur les abus de l'utilisation de la psychiatrie à des fins politiques et condamne une telle utilisation, dans quelque pays que ce soit.
Ces dernières années, les cours d'appel de Paris et de Douai ont été amenées à condamner l'Etat à verser des indemnités de plus de 45.000 à 190.000 euros aux victimes d'internements abusifs
La mafia des juges, membre de l’organisation de trafics d’enfants, est très puissante.
Les pays occidentaux et démocratiques ont signé plusieurs conventions pour les neutraliser et la France a non seulement signé les conventions contre la corruption, contre l’association de crime en bande organisée et le crime de trafic d’enfants, mais elle les a transposées en droit national.
Selon l’article 450-1 du code pénal : « Constitue une association de malfaiteurs tout groupement formé ou entente établie en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, d'un ou plusieurs crimes ou d'un ou plusieurs délits punis d'au moins cinq ans d'emprisonnement. »
Pour priver un enfant de son père, il faut absolument apporter l’avis d’un expert.
Le 5 septembre 2023, il n’y avait aucun certificat émanant d’un psychologue.
Le président de la cour d’appel a demandé à Madame Clotilde LAMBERT de produire à tout prix un certificat. Incapable d’en établir un, elle a demandé à Madame Christelle CHENAF, de l’ASE, de signer un certificat attestant de ma soi-disant folie, ce qu’elle a refusé en déclarant ne pas être experte et que c’était à un juge d’en désigner un.
Selon l’article 1180-13 du code de procédure civile, le juge peut autoriser, sur leur demande et sur justification d'un intérêt légitime, la délivrance d'une copie d'une ou plusieurs pièces du dossier aux parents ainsi qu'au mineur âgé de seize ans révolus. La décision du juge est une mesure d'administration judiciaire.
Je demande donc une copie des pièces autorisant la violation de l’article 9 de la CIDE et une copie des pièces prouvant ma soi-disant folie afin que je puisse saisir un expert psychologue.
Le 18/12/2023, Madame Faoula ABOUDOU NASSOR a informé notre fille que dès le lendemain elle serait placée dans un foyer d’urgence. Notre fille a contesté en rappelant que la juge avait écarté cette possibilité car les éducateurs dans les foyers d’urgence font mal aux enfants. Son éducatrice lui a répondu qu’elle allait être placée dans un foyer d’urgence parce que sa mère avait contesté son placement et que son père était fou et avait demandé la révision du jugement. Si elle résistait, la police interviendrait.
Notre fille est rentrée à la maison, m’a demandé pardon, ensuite elle est ressortie pour rejoindre une amie et a pris des médicaments pour se suicider. Son amie l’a découvert, elle a appelé les pompiers et notre fille a été transférée à l’hôpital. Elle y a passé 5 jours, dont 3 entre la vie et la mort.
J’ai téléphoné à Madame Faoula ABOUDOU NASSOR et je lui ai rappelé que notre fille ne voulait pas être placée et qu’elle lui avait dit qu’en cas de séparation d’avec ses parents, elle se suiciderait.
L’éducatrice lui a alors répondu que la justice et l’ASE ne pouvaient pas céder au chantage des enfants.
Puis, Madame Faoula ABOUDOU NASSOR m’a demandé si elle était décédée et je lui ai répondu qu’elle était entre la vie et la mort. Elle m’a dit qu’elle allait à l’hôpital car les services sociaux ont un contrat avec eux : en cas de suicide d’un enfant placé, l’hôpital n’appelle ni les parents, ni la police, mais uniquement les services sociaux.
J’étais choqué de ces révélations. Le suicide d’un enfant est la conséquence de violences morales exercées à son encontre. Il s’agit d’un crime. L’hôpital avait pour obligation d’informer la police, les parents et la justice. Je lui ai dit qu’elle risquait d’être condamnée pour violences morales et usage de faux concernant le placement de ma fille. Selon Madame Faoula ABOUDOU NASSOR, plusieurs enfants tentent de se suicider chaque mois et elle a l’habitude de ce genre de chantages. L’hôpital est subventionné par le département qui gère les services sociaux et s’est engagé à défendre les intérêts de l’État.
Le certificat médical mentionne :
« Le MODE DE VIE
Domicile Placé en foyer d’urgence en 2022 dans un contexte de violence intrafamiliale. Aide éducative mise en place en 09/2022 et retour au domicile. Plus de violence physique mais déclare toujours des violences psychologiques, en attente d’une place dans un foyer mais vit actuellement en maison avec ses deux parents. »
L’hôpital confirme que l’enfant s’est suicidée à cause de violences psychologiques exercées par ses parents alors que sa tentative de suicide était causée par sa crainte d’être placée en foyers et séparée de ses parents. En 2022, le placement a été jugé illégal et notre fille a été libérée. D’ailleurs, les accusations de maltraitance à notre encontre ont été considérées comme diffamatoires par le jugement du 6 juillet 2022 qui précise que notre fille a déclaré que rien ne pourrait remplacer l’amour de ses parents. C’est à cause de cette phrase que le placement a été annulé. La dissimulation de la vérité et le renversement de la responsabilité sont très graves. Le juge qui a annulé le placement a été tout de suite muté, mais en France pour changer un jugement il est interdit de changer de juge. Les mêmes accusations ont été reprises par la deuxième magistrate. Alors que le président du Conseil départemental a ordonné que l’ASE se désiste pour le placement, Madame Clotilde LAMBERT a été chargée du placement. Selon une lettre anonyme, elle était corrompue. Les règle du droit ne l’autorisaient pas à ordonner ce placement.
Sa corruption était incontestable. Les trois magistrats de la Cour d’Appel ne pouvaient pas ignorer cette corruption, et l’usage de faux pour motiver un jugement présume la corruption.
Le président de la Cour d’Appel de Paris auditionne des enfants dans une chambre d’hôtel. La Cour d’appel ne rejuge pas une affaire mais la réexamine. Dans un cas exceptionnel, le président de la Cour d’appel peut interroger un enfant mais pas dans une chambre d’Hôtel. J’ai refusé et, en conséquence, il a conclu que je l’avais soupçonné de pédophilie. L’entreprise chargée du trafic d’enfants avait réservé une chambre et son employée avait dit à ma fille qu’elle allait lui présenter un monsieur très gentil. La date était le 6 juillet 2023 et par son arrêt, le président de la Cour d’Appel prétend que je n’ai pas répondu à sa sollicitation.
Le dossier est retourné devant le même juge. Donc, sa corruption ne pouvait pas être ignorée. Il a à nouveau demandé à Madame Clotilde LAMBERT d’ordonner le placement de ma fille qui n’a pas été exécuté car l’ASE avait constaté la corruption de la magistrate. Un jugement fondé sur de la corruption ne peut pas être exécuté et l’ASE s’est officiellement désistée.
Le certificat médical de l’Hôpital Kremlin Bicêtre mentionne la violence psychologique exercée sur notre fille mais ne précise pas qui a torturé notre enfant et comment. La torture d’un enfant est un crime. L’article 40 du CPP exige que le témoin de crimes informe la police. L’hôpital ne précise pas pour quel motif il s’est abstenu de saisir l’autorité judiciaire. Le motif du suicide de notre fille était qu’elle ne trouvait aucune solution pour échapper à son placement et elle craignait être envoyée dans un foyer d’urgence. Madame Clotilde Lambert a mentionné dans son jugement que les enfants sont en danger dans les foyers d’urgence. Le viol des enfants de l’ASE n’est pas un secret en France et les juges sont parfaitement au courant.
C’est pour ne pas être arrachée à ses parents qu’elle a tenté de se suicider. Avec l’interdiction de toute communication avec ses parents, l’hôpital du Kremlin Bicêtre a contribué à l’exercice d’une violence psychologique à l’encontre de non seulement notre fille mais notre famille.
Contrairement à la demande de notre fille qui voulait voir ses parents, l’hôpital a privé ses parents de leur droit de visite et l’a livré à son pire cauchemar : un foyer d’urgence qui l’a mise sous médicaments. L’hôpital avait obligation de demander son avis et dans le cas où elle refusait d’être placée, l’hôpital devait informer la police. Elle a passé son premier Noël et le jour de l’an en isolement alors qu’elle avait demandé à les passer avec ses parents.
L’éducatrice a dévoilé l’accord secret passé entre l’hôpital et le département.
L’éducatrice a établi un planning de retours à la maison. Ce planning commençait par le 1er janvier 2024 avec une simple visite de seulement quelques heures dans la journée. Or, elle nous a envoyé ce planning le 2 janvier 2024 et nous l’avons reçu le 4 janvier 2024. Ce sont des méthodes très violentes pour traumatiser à la fois notre fille et nous-mêmes.
Depuis que notre fille nous a été enlevée, elle est déscolarisée et les services sociaux refusent de l’inscrire au lycée.
Une scolarisation ou une formation sont obligatoires jusqu’à la majorité. Le juge et l’ASE ont dit à sa mère que dans le cas où elle voulait que sa fille soit scolarisée, elle devait confirmer que le père de ses enfants est fou.
La violence psychologique contre un enfant est inhumaine. La mère de mes enfants a dit au juge qu’elle connaissait le père de ses enfants et qu’il s’agissait d’un faux et qu’elle ne pouvait pas affirmer ou confirmer que le père de ses enfants est fou.
Le trafic d’enfants, la pédophilie des magistrats et la violation de la Convention Internationale des Droits de l'Enfant sont des crimes. Selon l’éducatrice au moins 5 enfants tentent de mettre fin à leurs jours chaque mois pour échapper à un placement. En cas d’absence de violence de la part des parents sur leurs enfants et en cas de refus d’un enfant d’être placé, le placement est interdit. Dans notre cas, la mère de ma fille a accepté que notre enfant vive avec son père.
La Cour Pénale Internationale intervient dans le cas de tortures et de violences contre les enfants et de défaillance de l’État. La civilisation moderne et les pays démocratiques ne peuvent pas accorder l’immunité et l’impunité aux magistrats qui sont coupables de crimes contre l’humanité. Aucun individu n’est à l’abri de poursuites en raison des fonctions qu’il exerce ou du poste qu’il occupait au moment où les crimes concernés ont été commis.
A la lecture des écritures de Monsieur Laurent GEBLER dans les médias, la majorité des enfants sont arrachés à leurs parents à la suite d’un rapport des éducatrices ou éducateurs.
En droit, la religion est considérée comme relevant de la vie privée et un enfant a le droit à la protection de sa vie privée et même à ce que ses parents n’en soient pas informés.
Le juge prouve que les éducatrices ont produit un faux rapport en écrivant : « Laura était d’abord en demande de placement, puis elle a exprimé l’envie de vivre seule avec son père. »
La première demande est écrite par le bénéficiaire du placement, employé de l’entreprise Olga SPITZER, et la deuxième est la demande directe de ma fille à l’audience. Le juge ne peut pas tenir compte d’une demande démentie par ma fille, il doit uniquement tenir compte ce qu’elle lui exprime directement à l’audience.
Elle n’a jamais demandé à être séparée de sa famille. A l’audience, elle a déclaré qu’en cas de séparation, elle se suiciderait.
J’ai souligné que le jugement du 29 mars 2023 était fondé sur les soi-disant paroles de deux personnes qui étaient absentes à l’audience. Le juge a répondu que « Monsieur tient un discours confus voire délirant. » Or, pour pouvoir écrire ainsi le juge demande à un employé de l’ASE de mentionner que je suis fou. Un magistrat pour justifier sa corruption ne peut pas commanditer un certificat.
« Concernant Laura , elle est opposée à son placement en foyer. Elle s'inquiète des risques de prostitution et de mise en danger de sa fille. Elle préférerait que Monsieur vive seul avec Laura . » Donc madame X n’était pas contre le fait que je vive avec ma fille et si sa mère l’autorisait, le juge ne pouvait pas commanditer un certificat stipulant que je suis fou pour justifier sa corruption.
A mon insu, ma fille a consulté gratuitement un avocat qui lui a dit que si le juge l’ordonne, son père pourra obtenir un logement HLM et quitter le logement familial. Le juge a alors répondu à ma fille que comme j’avais écrit sur internet des propos à son encontre, il avait décidé de me punir. Cette prétention du juge est psychologiquement très dangereuse pour un enfant.
La psychologue et Madame Aboudou Nassor sont allées à l’hôpital et ont informé ma fille que tout contact avec ses parents était interdit. Elle m’a téléphoné pour que j’aille la chercher et la ramener à la maison. Elle m’a dit qu’elle se trouvait au cinquième étage alors que j’étais déjà à l’hôpital et qu’on me disait qu’elle l’avait déjà quitté. Lorsque je suis arrivé sur place, une interne et une femme médecin sont arrivées devant la porte et m’ont empêché d’entrer. J’étais en contact téléphonique avec ma fille, je leur ai passé mon téléphone et ma fille, en pleurant, leur a demandé de me laisser entrer. Il s’agissait d’une démonstration de force pour la traumatiser et lui prouver qu’ils étaient capables de tout.
L’intimidation d’un enfant et l’interdiction de communication avec ses parents par l’hôpital sont des actes inhumains. Un employé de l’ASE m’avait dit qu’hôpital bénéficie de subventions importantes pour collaborer avec département. Les enfants qui se suicident ne doivent pas entrer en contact avec leurs parents. Ils m’ont finalement autorisé à entrer dans sa chambre mais m’ont interdit de m’approcher de son lit. Selon les médecins et la psychologue, j’étais considéré comme dangereux et capable d’attaquer ma fille et leur mère est espagnole et très violente.
Sur le site internet du journal Le Monde, on peut lire « Lily, 15 ans, morte dans un hôtel : questions sur un « échec collectif » de la protection de l’enfance. »
Pascal BERTOCCHI, directeur de l’association Alteris qui accompagnait Lily n’a pas été interrogé sur la cause du suicide et les services de l’ASE qui devaient surveiller son placement non plus.
Le suicide des enfants a une cause principale : la violence morale exercée sur eux pour les réduire à l’état d’esclaves.
Les mafias de trafics d’enfants sont officiellement enregistrées en tant qu’associations ou fondations par des hauts fonctionnaires, des hauts magistrats et des politiciens. Il faut avant tout arracher un enfant de ses parents.
Quand un enfant se suicide, il est évident que ce sont les parents qui sont défaillants, pas les magistrats ni l’ASE qui les a livrés aux associations ou les fondations qui ont tenté par une torture morale d’aider à leur mûrissement. Je suis choqué de voir que des journaux comme le journal La CROIX, journal catholique, publie les discours de Monsieur Laurent GEBLER, ancien président de l’association des magistrats de la jeunesse et président de la chambre des mineurs à la Cour d’appel de Paris, sans vérifier le décret le concernant et précisant qu’il a été déchargé des tribunaux d’enfants.
"Des jeunes se donnent la mort, leur seule solution face à la défaillance" déplore une ancienne enfant placée publié le 07/05/2024 sur France Info.
1
L'agent public, quel que soit son rang dans la hiérarchie, est
responsable de l'exécution des tâches qui lui sont confiées.
Il
n'est dégagé d'aucune des responsabilités qui lui incombent par
la responsabilité propre de ses subordonnés.
Commentaires
Enregistrer un commentaire