Nous devons nous mobiliser contre le blanchiment d’argent, terreau du terrorisme

Le 12 décembre 2020, un journaliste iranien résidant en France a été exécuté.

La surveillance des iraniens en France a besoin de financements et il faut absolument lutter contre le blanchiment d’argent destiné au terrorisme.

En 2000, j’ai dénoncé sur mon site  (http://h.nainy.free.fr/la/letr.htm) les relations que monsieur SEFRIOUI entretient avec l’Iran.  En représailles, il lancé une fatwa contre moi, classée sans suite. Encouragé par cette décision, il a chargé 3 individus de m’enlever. Sur ces trois personnes, deux étaient jeunes et je pensais que je pouvais les convaincre que l’Islam sunnite n’admet pas le terrorisme. Le troisième était rempli de haine contre la France et la société. En effet, il avait été injustement accusé d’avoir violé une policière dans le RER C.

On lui a fait croire que je suis chiite et que les chiites dénigrent la femme du prophète et les khalifes. Il a été manipulé contre moi par monsieur SEFRIOUI alors que j’avais pris sa défense lorsqu’il était en prison. Monsieur SEFRIOUI justifiait que les victimes d’injustices sont mieux manipulables et même il critiquait ma politique.

Le parquet de l’Essonne a classé ma plainte sans même m’en informer alors que les services médico-judiciaires m’ont prescrit 3 jours d’ITT.

Cela fait plusieurs années que je suis témoin de la corruption des fonctionnaires et des magistrats français qui est une des causes du terrorisme. Je pense que le terrorisme nuit aux intérêts de l’Islam et à ceux des musulmans.

20 ans plus tard, en 2020, un professeur a été victime d’une fatwa de monsieur SEFRIOUI. L’Iran a de l’argent et une grand partie des magistrats sont corrompus. C’est ainsi que monsieur SEFRIOUI a toujours bénéficié d’une protection judiciaire. L’origine des actes de terrorisme ne vient pas forcément de Daech ou d’Al-Qaida.

La justice en France est une question de rapport de forces et la force s’appuie sur l’économie.

J’ai également informé le Conseil Supérieur de la Magistrature des relations qui existent entre le parquet et la mafia de la prostitution. Il y avait deux solutions : soit j’accusais la justice et les juges et je devais être sanctionné, soit cette corruption était réelle. La présomption de corruption est définie par une résolution des Nations Unies et une Convention européenne. Sur ces bases, si un magistrat viole sciemment les règles du droit sans motif, il est présumé coupable de corruption et doit donc justifier ses décisions. Un crime dont j’ai eu connaissance a été classé sans suite par le biais d’une CRPC (comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité) sans aucune sanction pour le criminel alors qu’une CRPC est inopérante en cas de crimes. Les preuves d’un crime ne peuvent pas être détruites par un parquet et un procureur ne peut pas menacer un avocat. Si un procureur menace un avocat en exigeant de lui qu’il ne produise pas les preuves d’un crime lors d’une audience, alors ce procureur est présumé coupable de corruption. C’est ce que j’ai expliqué pour le Conseil Supérieur de la Magistrature.

On ne peut pas dénoncer les banquiers qui blanchissent de l’argent en faveur du terrorisme car les procureurs sont obligés de suivre la politique pénale du gouvernement.

Si monsieur SEFRIOUI avait été sévèrement condamné à cause de la fatwa qu’il a lancée, aujourd’hui Samuel PATY serait toujours vivant. Le parquet de l’Essonne qui classé sans suite l’affaire de tentative de mon enlèvement est lui aussi responsable.

Je suis musulman et, avec monsieur SEFRIOUI, nous avions deux lectures différentes du Coran. Il pensait que plus il y a de corruption dans les systèmes juridique et administratif, mieux on peut recruter des futurs terroristes. En ce qui me concerne, je pensais qu’il faut défendre les musulmans victimes d’injustices et qu’il ne faut pas hésiter à d’affronter les juges et les fonctionnaires corrompus.

Alors que monsieur SEFRIOUI bénéficiait de l’argent et de l’idéologie des chiites pour mener à bien ses activités, il m’accusait d’être chiite et pour lui, je devais être tué. Selon la théorie des chiites, quand il y a plus d’injustice, le sauveur arrive, alors que dans l’Islam aider à la progression de l’injustice est un péché. C’est ce que les manipulateurs utilisent pour la création des golems. Les terroristes sont dénués de tout sentiment humain. Lorsque la personne qui voulait m’enlever était en prison, j’étais le seul à vouloir la défendre et à soutenir sa famille et, lorsqu’elle est sortie de prison, je lui ai proposé de saisir la justice contre ceux qui l’avaient torturée.

J’ai payé très cher parce que j’ai décidé de dénoncer nommément les magistrats corrompus devant plusieurs chambres de la cour d’appel de Paris. Le 08 octobre 2014, un magistrat a ordonné une perquisition dans le lieu d’habitation d’un de mes proches où j’avais installé mon ordinateur (P. NAVARRI, juge du tribunal d’instance de Palaiseau, ancien substitut du procureur). Ensuite, bien que j’ai payé 3 500 euros de rançon, il a envoyé aux gardiens de la révolution iraniens les documents trouvés dans mon ordinateur. Il s’agit tout simplement d’une collaboration entre la justice française et les gardiens de la révolution iraniens. Soit le gouvernement français est au courant et donc est coupable, soit il est ignorant et doit mener une enquête indépendante.

Dans mon ordinateur, il a été découvert que j’enquêtais sur un groupe industriel français qui construisait et commercialisait des fours pour réacteurs atomiques en Iran. D’ailleurs, un colonel des gardiens de la révolution iranienne était venu en France pour surveiller l’opération. J’ai informé les autorités françaises, en vain.

Le 12 octobre 2015, monsieur Patrick NAVARRI a été chargé par l’Iran de m’accuser de terrorisme. Il a décidé de déposer au domicile d’un de mes proches un plan du lieu où j’étais censé commettre un attentat ainsi que le matériel nécessaire à cette opération. Or, il n’avait pas prévu que tous les magistrats français ne sont pas corrompus ou bien qu’ils ne sont pas, comme lui, sans scrupule. J’ai accusé la greffière et certains magistrats qui ont été mutés et qui avaient profité de la corruption. J’apportais les preuves incontestables et incontestées de mes accusations. Or, une personne que je suppose être un magistrat m’a téléphoné sans préciser son identité et m’a informé de la date de l’intervention. Je n’arrivais pas à croire que j’allais être accusé de terrorisme alors que je me suis toujours battu contre. Quand on trouve des matériels explosifs chez quelqu’un, personne ne croit que les policiers l’ont installé.

L’ordonnance signée par Patrick NAVARRI a été envoyée à la mère de mes enfants et précisait qu’une intervention des services de son bailleur était prévue dans son appartement.

Le jour de l’intervention, le technicien envoyé par le bailleur était accompagné de quatre policiers qui ignoraient que la valise du technicien contenait des plans et du matériel explosif. J’étais présent et j’ai informé les policiers du contenu de la valise, mais ils ne me croyaient pas. Ils ont demandé au technicien d’ouvrir sa valise, mais celui-ci a refusé. L’opération a échoué et j’ai décidé de quitter la ville qui était contrôlée par le parquet de l’Essonne et les magistrats alors que j’avais fourni aux autorités judiciaires des preuves de leur corruption, y compris à la cour d’appel de Paris.

J’ai acheté une maison à proximité de Paris. Ma mère était gravement malade, puis elle est décédée l’année dernière sans que je puisse lui rendre visite. L’Iran était convaincu que j’allais rentrer en Iran. Il a informé Bourse Directe qui était persuadé que je ne reviendrais jamais et qui a confisqué mes actions et mes avoirs. Pendant la deuxième guerre mondiale, les banquiers dénonçaient leurs clients juifs et s’emparaient de leurs biens.

Bourse Directe m’a fourni des preuves, ce qui est étonnant de la part d’un banquier. Il m’a envoyé la traduction d’un formulaire identique à celui que les gardiens de la révolution avaient utilisé lorsqu’ils ont interrogé ma famille. Je n’accuse pas sans preuves une entreprise puissante de blanchir de l’argent alors qu’elle est présumée innocente. Je possédais des actions gérées par sa filiale Capitol. Bourse Directe a été chargé par l’Iran de rechercher deux information cruciales :

1- Si j’ai pris la nationalité américaine ou si je possède une Green Card,

2- La valeur de mes biens immobiliers et de mes économies.

Une banque envoie ce genre de formulaires à ses clients potentiels lorsqu’ils souhaitent contracter un prêt. La condition sine qua non est d’être français ou bien étranger avec une autorisation de résider en France.

Les iraniens qui ont obtenu la nationalité américaine ou résident aux États-Unis bénéficient d’une protection et peuvent déposer plainte contre l’Iran et se faire dédommager sur les comptes iraniens bloqués par les États-Unis. Or, les iraniens installés en Europe ne bénéficient d’aucune protection. C’est pour cela qu’avant de lancer des représailles contre ses ressortissants, l’Iran s’assure qu’ils ne sont pas protégés.

Capitol a déclaré que, d’après la loi, les comptes inactifs doivent être transférés à la Caisse des Dépôts et Consignations. Je ne voulais pas vendre mes actions parce qu’elles étaient à la moitié de leur prix d’achat. Bourse Directe m’a proposé que les actions que je détenais chez Capitol soit transférées chez eux. Suite à ce transfert, Bourse Directe m’a fait parvenir le questionnaire suivant :

« Vous êtes détenteur d’une Green Card ? Vous êtes citoyen américain ? Vous êtes résident américain ?»

A ces trois questions, j’ai répondu par la négative. C’est ainsi que j’ai découvert que Bourse Directe n’est pas clair. Cela fait plus de 33 ans que je vis en France. On m’a déjà demandé si j’avais une carte de séjour ou une carte de résident, mais jamais si j’étais détenteur d’une Green Card.

« - Quel est le montant estimé de votre patrimoine (montant en €) ?

- Quelle est la répartition de votre patrimoine ? ( Total = 100% )

- Liquidités %

- Placements à revenu fixe (produits bancaires) %

- Biens immobiliers %

- Contrats d’assurance (vie, décès, capitalisation) %

- Comptes titres %

- Autres % ».

J’ai donc refusé de répondre à ce questionnaire.

Mes actions étaient conservées depuis plus de 10 ans par la filiale de Bourse Directe et leur financement n’était pas en cause. S’il existait le moindre doute sur la source de mes finances, c’était au moment de leur achat que ce doute devait être évoqué et Capitol pouvait informer les autorités. Si un délit est découvert, la justice doit en être informée mais une banque ne peut pas juger elle-même et confisquer les biens de son client.

J’informe ici les victimes du terrorisme que Bourse Directe a commis un crime de blanchiment d’argent et que son questionnaire sur la Green Card et la nationalité américaine ne concerne pas les résidents européens.

Il est difficile de calculer le montant des dividendes et des crédits d’impôt accumulés sur mon compte. En 2016, j’avais 1 500 € de liquidités plus environ 50 000 en actions. Il y a plus de 20 ans que j’ai acheté mes actions et je ne peux pas estimer leur valeur actuelle.

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